Longtemps objet de fantasmes scientifiques (et pas que scientifiques), le point G ne serait autre que le siège du plaisir féminin.

Sexualité : le point G existerait bel et bien

Longtemps objet de fantasmes scientifiques (et pas que scientifiques), le point G ne serait autre que le siège du plaisir féminin.


Longtemps objet de fantasmes scientifiques (et pas que scientifiques), le point G ne serait autre que le siège du plaisir féminin.


Nommée ainsi après avoir été étudié par un certain Ernest Gräfenberg, dans les années 30 et 40, la notion correspondait au gonflement de l'urèthre.

Depuis, le concept été mis en cause, et pour les experts, il relevait de l'objet non identifié plus que d'une réalité anatomique.

Or, voilà que le Docteur Adam Ostrzenski de l’Institut de gynécologie américain vient de démontrer que le point G existe bien.
En disséquant un cadavre frais d'une femme de 83 ans (frais car le décès est survenu moins de 24 h plus tôt) , il a repéré un membre long de 8,1 mm et large de moins de 3,1 mm.
Pour le le Docteur Adam Ostrzenski, qui vient de publier ses recherches dans the journal of Sexual Medicine "l'étude confirme l'existence anatomique du point G, ce qui devrait conduire à une meilleure compréhension et une amélioration de la fonction sexuelle de la femme".

La découverte ne fait pas l'unanimité dans la communauté médicale. D'autant que de récentes recherches avaient renouveler les doutes sur l'existence du point G. Le Docteur Adam Ostrzenski, à la tête d'une clinique spécialisée en comestique gynécologique (sic) aurait un intérêt écononomique dans la prétendue découverte.

C'est donc au minimum un sacré coup de pub. Et quoi qu'il en soit,  le débat est relancé !