L'abbè Pierre
Publié le 26 janvier 2024
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Adieu l'abbé
Il s'en est allé l'abbé Pierre
Il s'en est allé, le grand homme
Dieu lui a accordé ses grandes vacances.
Alors sans un mot, sans un bruit
Par un froid matin d'hiver,
Vêtu de sa cape et de son béret,
Il lest parti rejoindre ses amis
Lucie Coutaz, Georges
François,son ami d'enfance,
Et ses Compagnons d'Emmaüs.
Sur cette route, où que vous soyez
Entendez nos au revoir, nos mercis .
Merci,pour tous ceux que vous avez aidé
De par ce monde, infatigable bienfaiteur.
Là,où se trouvait la misère.
Là,vous étiez là, vous vous battiez
Merci,pour tous ceux que vous avez sauvé,
Merci pour ceux qui, grâce à vous,
Et aux compagnons d’Emmaüs,
Connaissent le bonheur d’un toit ,
Adieu l'abbé, nous resteront les orphelins
D'un frère, plus que l'abbé.
Nous regretterons vos coups de gueule,
Dénonçant a pauvreté gangrenant le monde,
L'injustice,le mépris, l'oublie des autres,
On ne vous verra plus aux cotés des démunis
Partageant leur souffrance, leur misère
À vous l'insurgé de Dieu, qui avez tant donné
Vous qui ne vouliez pas une fleur sur votre tombe,
Mais des sourires de gens heureux
Comme ne épitaphe, un dernier hommage
Acceptez cet adieu d'une communauté orpheline
Bonnes vacances l'abbé.
Il s'en est allé l'abbé Pierre
Il s'en est allé, le grand homme
Dieu lui a accordé ses grandes vacances.
Alors sans un mot, sans un bruit
Par un froid matin d'hiver,
Vêtu de sa cape et de son béret,
Il lest parti rejoindre ses amis
Lucie Coutaz, Georges
François,son ami d'enfance,
Et ses Compagnons d'Emmaüs.
Sur cette route, où que vous soyez
Entendez nos au revoir, nos mercis .
Merci,pour tous ceux que vous avez aidé
De par ce monde, infatigable bienfaiteur.
Là,où se trouvait la misère.
Là,vous étiez là, vous vous battiez
Merci,pour tous ceux que vous avez sauvé,
Merci pour ceux qui, grâce à vous,
Et aux compagnons d’Emmaüs,
Connaissent le bonheur d’un toit ,
Adieu l'abbé, nous resteront les orphelins
D'un frère, plus que l'abbé.
Nous regretterons vos coups de gueule,
Dénonçant a pauvreté gangrenant le monde,
L'injustice,le mépris, l'oublie des autres,
On ne vous verra plus aux cotés des démunis
Partageant leur souffrance, leur misère
À vous l'insurgé de Dieu, qui avez tant donné
Vous qui ne vouliez pas une fleur sur votre tombe,
Mais des sourires de gens heureux
Comme ne épitaphe, un dernier hommage
Acceptez cet adieu d'une communauté orpheline
Bonnes vacances l'abbé.