Morning du 20 septembre, En France, tout finit toujours par des impôts

J'allais écrire : "enfin", mais en fait je ne sais pas si on était si pressé...
Le sujet excite beaucoup...les médias.
Les Français, moins.
Dans tous les cas, on a une certitude.
Les impôts ou les taxes augmenteront.
Malheureusement.
ALORS ? C'EST POUR QUAND ?
Ça fait des jours que les médias sont surexcités par la nomination du gouvernement.
Est-ce que Wauquiez sera au gouvernement ?
Qui aura le ministère de l’Intérieur ?
Et Darmanin, il reste ?
Combien y aura-t-il de ministres LR et de ministres de l'ancienne majorité/minorité gouvernementale ?
C'est dans ces phases-là que je comprends mieux pourquoi la politique politicienne m'intéresse si peu.

À L’ARRIVÉE
Un gouvernement qu'on aurait donc pu avoir sans dissolution, sans élections législatives anticipées, sans psychodrame, sans la France à l'arrêt, hors JO, pendant des mois, sans arrêt des investissements, sans déprime des chefs d'entreprise.
Tout ça pour ça.

ET ON VA ÉVIDEMMENT AVOIR...
...deux sujets maintenant.
Le premier, c'est la réforme des retraites.
Ce gouvernement-là ne va pas l'abroger.
Tant qu'il tiendra.
Mais il va donner, à ceux qui sont ou seront "touchés" par cette réforme, des compensations financières telles que les économies qu'on devait faire seront largement amputées.

LE DEUXIÈME SUJET
C'est évidemment les impôts.
Il faut "donner un gage à l'électorat de gauche" pour espérer un jour séparer le PS de LFI (c'est ce que disent les pros, moi je n'y comprends rien).
Et bien évidemment, le plus simple, c'est de taxer "les riches".
Aux États-Unis les démocrates envisagent la même chose, sauf qu'aux États-Unis un riche c'est quelqu'un qui a un patrimoine de plus de 50 millions de $ et qui gagne plusieurs millions de $ par an.
En France on est riche (un salaud de riche) à partir de 4 000 € de salaire par mois, et à partir de quelques centaines de milliers d'euros de capital.
Et si par malheur une partie de ce capital vient d'une succession, alors là on risque la taule.

DONC
Au lieu de réformer pour réduire la gabegie de nos dépenses publiques, on va faire ce qu'on sait faire de...
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