Immobilier, les taux toujours au plancher
Publié le 23 octobre 2014
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Depuis le début de l'année, les taux ont perdu 49 points de base, une décrue qui, selon l'observatoire a été plus efficace pour « redynamiser les marchés privés que tous les dispositifs publics actuels d'incitation et d'aide ». La principale explication de ces taux bas tient au déclin du taux de l’OAT sur 10 ans, qui sert de référence aux banques pour l’établissement de leur propre barème de prêts immobiliers.
Pour rappel, les taux des crédits immobiliers avaient accéléré à la baisse en septembre. De 2,65% en août, ils étaient passés à 2,59% le mois dernier. Soit un rabais de quasi 10 points de base ! « Jamais depuis la fin des années 1940 les taux des crédits immobiliers n'étaient descendus aussi bas », relève l'étude.
Les jeunes ménages sont ceux qui bénéficient de ces taux au rabais, puisque « le mouvement de dégradation des flux de la primo accession des ménages jeunes ou modestes qui s'observait depuis l'automne 2011 paraît enrayé ».
Dans le détail, ce repli est visible sur tous les marchés : dans l’ancien les taux reculent à 2,58% en septembre (contre 3,08% en décembre 2013), les taux du marché des travaux s’inscrivent à 2,60% en septembre (contre 3,12% en décembre 2013), et ceux du neuf à 2,61% en septembre (contre 3,08% en décembre 2013).
La part des prêts à taux variable s’est contractée à 2,6% en septembre, contre 6,4% en 2013. L’étude signale que la baisse des taux constatée depuis janvier rend cette formule « nettement moins intéressante » pour les emprunteurs.
Pour rappel, les taux des crédits immobiliers avaient accéléré à la baisse en septembre. De 2,65% en août, ils étaient passés à 2,59% le mois dernier. Soit un rabais de quasi 10 points de base ! « Jamais depuis la fin des années 1940 les taux des crédits immobiliers n'étaient descendus aussi bas », relève l'étude.
Les jeunes ménages sont ceux qui bénéficient de ces taux au rabais, puisque « le mouvement de dégradation des flux de la primo accession des ménages jeunes ou modestes qui s'observait depuis l'automne 2011 paraît enrayé ».
Dans le détail, ce repli est visible sur tous les marchés : dans l’ancien les taux reculent à 2,58% en septembre (contre 3,08% en décembre 2013), les taux du marché des travaux s’inscrivent à 2,60% en septembre (contre 3,12% en décembre 2013), et ceux du neuf à 2,61% en septembre (contre 3,08% en décembre 2013).
La part des prêts à taux variable s’est contractée à 2,6% en septembre, contre 6,4% en 2013. L’étude signale que la baisse des taux constatée depuis janvier rend cette formule « nettement moins intéressante » pour les emprunteurs.
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