Immobilier, Clameur voit un marché locatif en dépression
Publié le 9 septembre 2014
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Les loyers ont augmenté autant que l’inflation depuis le début de l’année. Ils ont augmenté de 0,7% quand l’inflation a également progressé de 0,7 %, selon le dernier pointage de l’Insee. Après une accélération constatée durant le printemps, l’Observatoire constate même une érosion des loyers pendant l’été.
« Le marché qui traverse une de ses récessions les plus sévères depuis le début des années 2000, n’a en effet pas bénéficié d’un surcroît de dynamisme estival » décrit Michel Mouillart auteur de l’étude. Il explique également le marché locatif est en prises avec « une demande déprimée par la montée du chômage et les incertitudes sur le pouvoir d’achat ».
Dans ce contexte des moins rassurants, les locataires ne déménagent plus « sous l’effet des crises économiques qui se succèdent et de la paupérisation des candidats à la location (montée du chômage, ralentissement puis baisse du pouvoir d’achat, dégradation des aides personnelles au logement ...). Ainsi, le taux de mobilité résidentielle est ressorti à 25,9%, soit l’un des niveaux les plus faibles jamais observés depuis la création de l’Observatoire.
Et l’environnement politique et économique ne devrait pas conduire à une amélioration de la situation. « Le marché doit maintenant composer avec une demande particulièrement déprimée par la montée du chômage et les incertitudes sur le pouvoir d’achat. Et il est de plus déstabilisé par des annonces et des décisions publiques qui bouleversent les projets des investisseurs et des propriétaires-bailleurs et finissent par renforcer le déséquilibre des marchés ». poursuit Clameur.
« Le marché qui traverse une de ses récessions les plus sévères depuis le début des années 2000, n’a en effet pas bénéficié d’un surcroît de dynamisme estival » décrit Michel Mouillart auteur de l’étude. Il explique également le marché locatif est en prises avec « une demande déprimée par la montée du chômage et les incertitudes sur le pouvoir d’achat ».
Dans ce contexte des moins rassurants, les locataires ne déménagent plus « sous l’effet des crises économiques qui se succèdent et de la paupérisation des candidats à la location (montée du chômage, ralentissement puis baisse du pouvoir d’achat, dégradation des aides personnelles au logement ...). Ainsi, le taux de mobilité résidentielle est ressorti à 25,9%, soit l’un des niveaux les plus faibles jamais observés depuis la création de l’Observatoire.
Et l’environnement politique et économique ne devrait pas conduire à une amélioration de la situation. « Le marché doit maintenant composer avec une demande particulièrement déprimée par la montée du chômage et les incertitudes sur le pouvoir d’achat. Et il est de plus déstabilisé par des annonces et des décisions publiques qui bouleversent les projets des investisseurs et des propriétaires-bailleurs et finissent par renforcer le déséquilibre des marchés ». poursuit Clameur.
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