Morning du 13 septembre, IL CONTINUE
Publié le 13 septembre 2021
(60 lectures)
Cette fois, Xi Jin Ping a décidé de s'attaquer à deux sujets.
Ant Group, la filiale financière d'Alibaba, et en particulier Alipay le géant du paiement Chinois.
Mais il veut aussi s'attaquer aux statuts et à la condition des travailleurs de la "nouvelle" économie.
LA GIG ECONOMY
Vous connaissez.
On l'a souvent évoqué ici.
Le mot "gig" vient du monde de la musique.
Un gig c'est un concert.
La "gig economy" fait référence aux musiciens qui sont payés au cachet pour les concerts et pas avec une rémunération fixe annuelle.
AUJOURD'HUI
La "gig economy" ce ne sont plus seulement les musiciens mais plus largement tous ceux qui travaillent sur les plateformes, tous ceux qui sont payés la tâche, sans aucune couverture sociale.
Tous ceux donc qui, même dans des pays dont le système social est extrêmement généreux comme la France, sont exploités.
TOUT LE MONDE
y compris nous,quand nous recevons nos repas par Deliveroo ou Uber Eats, ferme les yeux sur ce lumpenproletariat.
Qui oserait critiquer le monde de "l'économie de partage", de la "foodtech" ou de la tech au risque de ne pas être "cool" et moderne.
Ces journaliers dignes des romans de Steinbeck ne gêne personne sous prétexte qu'ils sont exploités à travers internet et qu'internet c'est moderne.
ENCORE PLUS PARADOXAL
donc que ce soit le dictateur Chinois qui s'attaque au sujet.
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
Ant Group, la filiale financière d'Alibaba, et en particulier Alipay le géant du paiement Chinois.
Mais il veut aussi s'attaquer aux statuts et à la condition des travailleurs de la "nouvelle" économie.
LA GIG ECONOMY
Vous connaissez.
On l'a souvent évoqué ici.
Le mot "gig" vient du monde de la musique.
Un gig c'est un concert.
La "gig economy" fait référence aux musiciens qui sont payés au cachet pour les concerts et pas avec une rémunération fixe annuelle.
AUJOURD'HUI
La "gig economy" ce ne sont plus seulement les musiciens mais plus largement tous ceux qui travaillent sur les plateformes, tous ceux qui sont payés la tâche, sans aucune couverture sociale.
Tous ceux donc qui, même dans des pays dont le système social est extrêmement généreux comme la France, sont exploités.
TOUT LE MONDE
y compris nous,quand nous recevons nos repas par Deliveroo ou Uber Eats, ferme les yeux sur ce lumpenproletariat.
Qui oserait critiquer le monde de "l'économie de partage", de la "foodtech" ou de la tech au risque de ne pas être "cool" et moderne.
Ces journaliers dignes des romans de Steinbeck ne gêne personne sous prétexte qu'ils sont exploités à travers internet et qu'internet c'est moderne.
ENCORE PLUS PARADOXAL
donc que ce soit le dictateur Chinois qui s'attaque au sujet.
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