Epargne, malgré la crise, les Français épargnent toujours
Publié le 2 juillet 2014
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« Ce taux d'épargne est élevé si on le compare à beaucoup d'autres pays européen » poursuit l’institut de conjoncture. Les épargnants français sont donc de vraies fourmis. Enfin, la moitié d’entre eux…
En 2009, la moitié de la population a consacré plus de 13% de ses revenus à leur bas de laine, l'autre moitié moins de 13%. Quitte à enfoncer des portes ouvertes, l’étude révèle que « le taux d'épargne augmente avec le revenu ». Le taux d’épargne est négatif pour les ménages les plus modestes tandis qu’à côté un quart des ménages ont épargné plus d'un tiers de leurs revenus annuels en 2009.
Derrière ces Français qui sont plus écureuils que cigales se cache la catégorie des 30-59 ans. Sans surprise puisque ces ménages de cette tranche d’âge épargne par précaution, en vue de réaliser un investissement, ou encore de transmettre un patrimoine.
En revanche, les jeunes et les plus modestes sont hors-jeu dans la course à l’épargne. Seulement 3% des ménages dont la personne de référence a moins de 30 ans disent mettre de côté. Même constat pour les familles avec deux enfants ou plus. Elles épargnent beaucoup moins que les familles avec un ou pas d'enfant. « A revenus donné, les dépenses occasionnées par la présence de plusieurs enfants au sein du ménage peuvent expliquer ce phénomène », souligne l'étude.
En 2009, la moitié de la population a consacré plus de 13% de ses revenus à leur bas de laine, l'autre moitié moins de 13%. Quitte à enfoncer des portes ouvertes, l’étude révèle que « le taux d'épargne augmente avec le revenu ». Le taux d’épargne est négatif pour les ménages les plus modestes tandis qu’à côté un quart des ménages ont épargné plus d'un tiers de leurs revenus annuels en 2009.
Derrière ces Français qui sont plus écureuils que cigales se cache la catégorie des 30-59 ans. Sans surprise puisque ces ménages de cette tranche d’âge épargne par précaution, en vue de réaliser un investissement, ou encore de transmettre un patrimoine.
En revanche, les jeunes et les plus modestes sont hors-jeu dans la course à l’épargne. Seulement 3% des ménages dont la personne de référence a moins de 30 ans disent mettre de côté. Même constat pour les familles avec deux enfants ou plus. Elles épargnent beaucoup moins que les familles avec un ou pas d'enfant. « A revenus donné, les dépenses occasionnées par la présence de plusieurs enfants au sein du ménage peuvent expliquer ce phénomène », souligne l'étude.
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