Morning du 4 mai, La mort du capitalisme en France ?
Publié le 4 mai 2020
(142 lectures)
Effet WOW garanti.
Carrément ! La mort du capitalisme ! Rien que ça...
Le gars, il n'a peur de rien...
En fait cela me trotte dans la tête depuis des mois, mais encore plus depuis la coronacrise.
Et je voulais partager cela avec vous.
Avoir votre avis.
C'est une question, pas une affirmation (enfin pas tout à fait...) : est ce la mort du capitalisme en France ?
LA FRANCE...
...n’est plus un pays capitaliste depuis longtemps, si elle ne l'a jamais été un jour.
Nous vivions déjà depuis longtemps dans une modèle d’économie « mixte » avec une part écrasante du service public et une intervention grandissante de l’État dans le secteur privé.
Mais la coronacrise marque un tournant, ou plutôt un accélérateur, un révélateur.
La crise actuelle consacre l’omniprésence et l’omnipotence de l’État.
Le secteur privé s’est auto nationalisé de fait.
Il ne reste plus en France qu’un simulacre de capitalisme. (J'attaque dur...)
D'AILLEURS
Les Français n’aiment pas le capitalisme.
Ils l'ont toujours détesté.
Le capitalisme c'est "un truc pour les amerloques incultes et sanguinaires".
Le capitalisme en France est synonyme d'inégalités.
Et dans un pays obsédé par l’égalitarisme, c’est un pêché mortel.
MAIS EN SE JETANT...
...dans les bras de l’État pour solliciter son aide, le secteur privé, ou ce qu’il en restait, s’est condamné.
Le capitalisme, c’est, par essence, la prise de risque.
Avec des gains illimités dans les périodes de croissance.
Et des pertes assumées en période de crise.
MAIS LE CAPITALISME FRANÇAIS...
...ne veut plus assumer le risque, il ne veut plus assumer ses pertes.
Il ne veut plus assumer, dans une situation de crise majeure, les licenciements, le chômage, l’effondrement de la valeur du capital pour les actionnaires, la remise en cause des dirigeants des entreprises.
Il ne veut plus « jouer » à pile ou face.
Il veut gagner si c’est pile.
Mais il ne veut pas perdre si c’est face.
DÈS LES PREMIÈRES HEURES DE LA CRISE
Tous les secteurs, plus ou moins touchés, ont réclamé l’intervention de l’État.
Comme un dû.
Chômage partiel entièrement...
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
Carrément ! La mort du capitalisme ! Rien que ça...
Le gars, il n'a peur de rien...
En fait cela me trotte dans la tête depuis des mois, mais encore plus depuis la coronacrise.
Et je voulais partager cela avec vous.
Avoir votre avis.
C'est une question, pas une affirmation (enfin pas tout à fait...) : est ce la mort du capitalisme en France ?
LA FRANCE...
...n’est plus un pays capitaliste depuis longtemps, si elle ne l'a jamais été un jour.
Nous vivions déjà depuis longtemps dans une modèle d’économie « mixte » avec une part écrasante du service public et une intervention grandissante de l’État dans le secteur privé.
Mais la coronacrise marque un tournant, ou plutôt un accélérateur, un révélateur.
La crise actuelle consacre l’omniprésence et l’omnipotence de l’État.
Le secteur privé s’est auto nationalisé de fait.
Il ne reste plus en France qu’un simulacre de capitalisme. (J'attaque dur...)
D'AILLEURS
Les Français n’aiment pas le capitalisme.
Ils l'ont toujours détesté.
Le capitalisme c'est "un truc pour les amerloques incultes et sanguinaires".
Le capitalisme en France est synonyme d'inégalités.
Et dans un pays obsédé par l’égalitarisme, c’est un pêché mortel.
MAIS EN SE JETANT...
...dans les bras de l’État pour solliciter son aide, le secteur privé, ou ce qu’il en restait, s’est condamné.
Le capitalisme, c’est, par essence, la prise de risque.
Avec des gains illimités dans les périodes de croissance.
Et des pertes assumées en période de crise.
MAIS LE CAPITALISME FRANÇAIS...
...ne veut plus assumer le risque, il ne veut plus assumer ses pertes.
Il ne veut plus assumer, dans une situation de crise majeure, les licenciements, le chômage, l’effondrement de la valeur du capital pour les actionnaires, la remise en cause des dirigeants des entreprises.
Il ne veut plus « jouer » à pile ou face.
Il veut gagner si c’est pile.
Mais il ne veut pas perdre si c’est face.
DÈS LES PREMIÈRES HEURES DE LA CRISE
Tous les secteurs, plus ou moins touchés, ont réclamé l’intervention de l’État.
Comme un dû.
Chômage partiel entièrement...
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
Copyright ©2020
MonFinancier (matinale)
Conseil Financier indépendant : avec Marc Fiorentino les solutions patrimoines, les solutions boursières, les solutions immobilières |