Morning du 16 mars, La grosse artillerie
Publié le 16 mars 2020
(109 lectures)
Contentons nous de parler économie/marchés
LA GROSSE ARTILLERIE
Pour les Allemands ce sera le "bazooka"
Pour les Américains "whatever it takes"
Pour les Français "quoi qu'il en coûte".
Chacun son style...
MAIS TOUS DANS LA MÊME DIRECTION
On ouvre les vannes.
Appuyées par les banques centrales qui rachèteront sans aucune limite les dettes d'état dont les déficits vont exploser, les gouvernements vont injecter plus d'argent dans l'économie qu'on n'en a jamais vu.
ET C'EST LÀ, LA GRANDE DIFFERENCE
Avec la crise de 2008.
Rappelez-vous combien de temps il a fallu aux banques centrales et aux gouvernements pour réagir.
Rappelez-vous les tergiversations européennes sur le sauvetage de la Grèce, l'aide aux pays en faillite, le rachat des dettes.
Il a fallu trois à quatre ans pour qu'on entre dans un cycle d'injection massive de liquidités et de relance budgétaire.
DANS CETTE CRISE
Aussi soudaine que brutale et rapide, la réaction est fulgurante.
On n'attend pas : on ouvre le carnet de chèques et on distribue.
À ceux qui sont en première ligne d'abord.
Et puis à tous.
C'EST L'HELICOPTER MONEY
On en parle depuis longtemps.
On attendait une raison pour ouvrir ce nouveau réservoir.
Et maintenant on y est.
Les banques centrales financent les États et les banques.
Les États financent les entreprises.
Et les États vont distribuer de l'argent sous une forme ou sous une autre aux particuliers.
LA FED…
a annoncé hier soir qu’elle allait baisser d’un point ses taux directeurs, qui seront désormais compris entre 0 % et 0,25 %. Ensuite, elle va racheter massivement de la dette bancaire, d’entreprise et immobilière, pour un montant d’au moins 700 milliards de dollars (626 milliards d’euros).
La baisse d’un point s’ajoute à celle d’un demi point, décidée mardi 3 mars, sans la...
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
LA GROSSE ARTILLERIE
Pour les Allemands ce sera le "bazooka"
Pour les Américains "whatever it takes"
Pour les Français "quoi qu'il en coûte".
Chacun son style...
MAIS TOUS DANS LA MÊME DIRECTION
On ouvre les vannes.
Appuyées par les banques centrales qui rachèteront sans aucune limite les dettes d'état dont les déficits vont exploser, les gouvernements vont injecter plus d'argent dans l'économie qu'on n'en a jamais vu.
ET C'EST LÀ, LA GRANDE DIFFERENCE
Avec la crise de 2008.
Rappelez-vous combien de temps il a fallu aux banques centrales et aux gouvernements pour réagir.
Rappelez-vous les tergiversations européennes sur le sauvetage de la Grèce, l'aide aux pays en faillite, le rachat des dettes.
Il a fallu trois à quatre ans pour qu'on entre dans un cycle d'injection massive de liquidités et de relance budgétaire.
DANS CETTE CRISE
Aussi soudaine que brutale et rapide, la réaction est fulgurante.
On n'attend pas : on ouvre le carnet de chèques et on distribue.
À ceux qui sont en première ligne d'abord.
Et puis à tous.
C'EST L'HELICOPTER MONEY
On en parle depuis longtemps.
On attendait une raison pour ouvrir ce nouveau réservoir.
Et maintenant on y est.
Les banques centrales financent les États et les banques.
Les États financent les entreprises.
Et les États vont distribuer de l'argent sous une forme ou sous une autre aux particuliers.
LA FED…
a annoncé hier soir qu’elle allait baisser d’un point ses taux directeurs, qui seront désormais compris entre 0 % et 0,25 %. Ensuite, elle va racheter massivement de la dette bancaire, d’entreprise et immobilière, pour un montant d’au moins 700 milliards de dollars (626 milliards d’euros).
La baisse d’un point s’ajoute à celle d’un demi point, décidée mardi 3 mars, sans la...
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