Immobilier, le marché francilien tourne toujours 'au ralenti'
Publié le 28 mai 2014
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Les notaires expliquent léger frémissement des ventes par une progression des volumes dans l’ancien tandis que « le neuf connaît une forte baisse, essentiellement parce que les acquéreurs-investisseurs manquent à l'appel, et que les nouvelles opérations se sont trouvées ralenties par la période électorale et pourraient ne pas aboutir. » Sur un an, la hausse des ventes est plus prononcée, elles ont augmenté de 9% au premier trimestre que ce soit pour les maisons ou pour les appartements.
Les officiers ministériels se gardent de parler de reprise des transactions. L’activité observée sur les trois premiers mois de l’année 2014 reste en effet, inférieure de 16 % à celle constatée pendant les années fastes. Et les notaires ne sont guère convaincus d’une embellie sur le front des ventes avec un report des ventes en raison de la mise en place de la loi Alur et ses dispositions draconiennes visant les copropriétés.
Malgré un marché francilien sans relief, les prix de leur côté, font toujours de la résistance. Dans la Capitale, le prix au m² des appartements anciens s’établit à 8.160 euros à fin mars 2014. C’est 20 euros de plus qu’au 4e trimestre 2013. « Ce très léger mouvement de hausse ne devrait pas être durable » tiennent à relativiser les notaires. Selon leurs projections, les prix des appartements parisiens devraient revenir autour de 8.100 euros du mètre carré dans les prochains mois. Les professionnels de l’immobilier avancent que l’allongement des délais de commercialisation, et une offre plus abondante de logements à vendre, pourraient inciter les vendeurs à consentir des baisses de prix plus importantes.
Les officiers ministériels se gardent de parler de reprise des transactions. L’activité observée sur les trois premiers mois de l’année 2014 reste en effet, inférieure de 16 % à celle constatée pendant les années fastes. Et les notaires ne sont guère convaincus d’une embellie sur le front des ventes avec un report des ventes en raison de la mise en place de la loi Alur et ses dispositions draconiennes visant les copropriétés.
Malgré un marché francilien sans relief, les prix de leur côté, font toujours de la résistance. Dans la Capitale, le prix au m² des appartements anciens s’établit à 8.160 euros à fin mars 2014. C’est 20 euros de plus qu’au 4e trimestre 2013. « Ce très léger mouvement de hausse ne devrait pas être durable » tiennent à relativiser les notaires. Selon leurs projections, les prix des appartements parisiens devraient revenir autour de 8.100 euros du mètre carré dans les prochains mois. Les professionnels de l’immobilier avancent que l’allongement des délais de commercialisation, et une offre plus abondante de logements à vendre, pourraient inciter les vendeurs à consentir des baisses de prix plus importantes.
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