Morning du 23 avril, Trump reprend les attaques contre l’Iran
Publié le 23 avril 2019
(76 lectures)
On avait même oublié que la majorité des transactions de pétrole iranien échappaient aux sanctions américaines grâce à des dérogations accordées en novembre dernier pour 6 mois.
Ces dérogations ne seront pas reconduites. Contre tout attente. Mais finalement pas si surprenant que cela…
12 MOIS D’ESCALADE
Il y a un an presque jour pour jour, Donald Trump décidait, comme il l’avait annoncé dans sa campagne, de retirer les Etats-Unis de l’accord nucléaire iranien, signé en juillet 2015.
Et prévoyait le rétablissement des sanctions d'ici 90 à 180 jours pour les pays et les entreprises qui avaient recommencé à commercer avec l'Iran.
Mais en novembre, les Etats-Unis ont accordé à huit pays (Chine, Grèce, Inde, Italie, Japon, Corée du Sud, Taiwan, Turquie) le droit de continuer à acheter du brut iranien pendant 6 mois.
8 pays qui absorbaient la quasi-totalité des exportations d'or noir de Téhéran
FIN DE DEROGATIONS
Selon le ministère des Affaires étrangères américain, trois des huit pays concernés auraient déjà cessé leurs importations - il s'agirait de l'Italie, de la Grèce et de Taiwan.
Mais la Chine, l'Inde et la Turquie, qui figurent parmi les plus gros acheteurs de pétrole iranien, semblaient s'attendre à un renouvellement de ces dérogations le 2 mai prochain.
Il n’en sera donc rien. Washington ne renouvèlera pas les dérogations. Et souhaite ramener les exportations iraniennes « à zéro ».
La Chine et la Turquie ont déjà affirmé qu’elles rejetaient les sanctions américaines sur l’achat de pétrole iranien
FLAMBÉE
Ces annonces ont fait bondir les cours du pétrole.
Le Brent a gagné 3% lundi, à 74,10 dollars le baril. Il atteint ainsi son plus haut niveau depuis le mois de novembre.
Depuis des mois les cours de l’Or noir semblent drivés par les sanctions américaines.
Il y a un an, l’annonce des sanctions avaient fait bondir les cours jusqu’à 85 dollars le baril. Ils avaient chuté à 50 dollars après l’annonce des dérogations.
Pour éviter la flambée des...
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
Ces dérogations ne seront pas reconduites. Contre tout attente. Mais finalement pas si surprenant que cela…
12 MOIS D’ESCALADE
Il y a un an presque jour pour jour, Donald Trump décidait, comme il l’avait annoncé dans sa campagne, de retirer les Etats-Unis de l’accord nucléaire iranien, signé en juillet 2015.
Et prévoyait le rétablissement des sanctions d'ici 90 à 180 jours pour les pays et les entreprises qui avaient recommencé à commercer avec l'Iran.
Mais en novembre, les Etats-Unis ont accordé à huit pays (Chine, Grèce, Inde, Italie, Japon, Corée du Sud, Taiwan, Turquie) le droit de continuer à acheter du brut iranien pendant 6 mois.
8 pays qui absorbaient la quasi-totalité des exportations d'or noir de Téhéran
FIN DE DEROGATIONS
Selon le ministère des Affaires étrangères américain, trois des huit pays concernés auraient déjà cessé leurs importations - il s'agirait de l'Italie, de la Grèce et de Taiwan.
Mais la Chine, l'Inde et la Turquie, qui figurent parmi les plus gros acheteurs de pétrole iranien, semblaient s'attendre à un renouvellement de ces dérogations le 2 mai prochain.
Il n’en sera donc rien. Washington ne renouvèlera pas les dérogations. Et souhaite ramener les exportations iraniennes « à zéro ».
La Chine et la Turquie ont déjà affirmé qu’elles rejetaient les sanctions américaines sur l’achat de pétrole iranien
FLAMBÉE
Ces annonces ont fait bondir les cours du pétrole.
Le Brent a gagné 3% lundi, à 74,10 dollars le baril. Il atteint ainsi son plus haut niveau depuis le mois de novembre.
Depuis des mois les cours de l’Or noir semblent drivés par les sanctions américaines.
Il y a un an, l’annonce des sanctions avaient fait bondir les cours jusqu’à 85 dollars le baril. Ils avaient chuté à 50 dollars après l’annonce des dérogations.
Pour éviter la flambée des...
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
Copyright ©2019
MonFinancier (matinale)
Conseil Financier indépendant : avec Marc Fiorentino les solutions patrimoines, les solutions boursières, les solutions immobilières |