Morning du 7 février, LA LUTTE DES CLASSES
Publié le 7 février 2019
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Il est au devant de la scène qu'il n'a d'ailleurs jamais quittée.
En France, nous n'avons toujours passé le cap.
Et le gouvernement, pour tenter d'endiguer le mouvement initié par les gilets jaunes, l'alimentent.
VOUS ETES DANS QUELLE CLASSE?
Il y a la classe populaire. Et parmi eux ceux qui vivent sous le seuil de pauvreté.
Il y avait la classe moyenne mais maintenant la mode est de les diviser en deux:
- la classe moyenne "inférieure"
- la classe moyenne "supérieure" qu'on appelle de plus en plus souvent "les aisés"
Et il y a les riches, et parmi eux les hyper riches.
MACRON
A favorisé les hyper riches qui sont devenus encore plus hyper riches avec la suppression de l'ISF, la flat tax à 30% sur les revenus du capital, tout cela dans un contexte de taux d'intérêt bas qui a fait exploser leur capital immobilier, entre autres.
Problème: la classe populaire, et surtout la classe moyenne "inférieure", la partie de la classe moyenne qui a été déclassée et qui rejoint doucement la classe populaire, s'est révoltée...
LA SOLUTION
Taper sur la seule classe qui ne se plaint pas.
La classe moyenne "supérieure".
Les aisés.
Il y en a plus que de riches ou hyper riches.
On n'aura jamais besoin d'eux si on quitte un jour la politique pour revenir dans le business.
Ils ne manifestent pas.
On trouve pêle même dedans les retraités qui perçoivent plus de 2000 € de pensions, les salariés du privé qui gagnent plus de 3500 ou 4000€, les entrepreneurs, les professions libérales.
LA CIBLE
La cible c'est eux.
L'idée est simple.
Accélérer le transfert entre la classe moyenne supérieure et la classe moyenne inférieure.
Dernier exemple en date: Darmanin qui a précisé hier qu'en conditionnant les niches fiscales à des conditions de revenus on "peut baisser les tranches d'impôt sur le revenu des gens qui gagnent 1700€ par mois de 180 € en moyenne".
Vive la lutte des classes.
A bas la classe moyenne "supérieure"
ET PENDANT CE TEMPS
bien sûr, on ne s'attache pas à l'essentiel.
Par manque de courage.
La réforme à faire en priorité c'est la baisse des dépenses publiques.
Sans baisse des dépenses publiques, on...
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
En France, nous n'avons toujours passé le cap.
Et le gouvernement, pour tenter d'endiguer le mouvement initié par les gilets jaunes, l'alimentent.
VOUS ETES DANS QUELLE CLASSE?
Il y a la classe populaire. Et parmi eux ceux qui vivent sous le seuil de pauvreté.
Il y avait la classe moyenne mais maintenant la mode est de les diviser en deux:
- la classe moyenne "inférieure"
- la classe moyenne "supérieure" qu'on appelle de plus en plus souvent "les aisés"
Et il y a les riches, et parmi eux les hyper riches.
MACRON
A favorisé les hyper riches qui sont devenus encore plus hyper riches avec la suppression de l'ISF, la flat tax à 30% sur les revenus du capital, tout cela dans un contexte de taux d'intérêt bas qui a fait exploser leur capital immobilier, entre autres.
Problème: la classe populaire, et surtout la classe moyenne "inférieure", la partie de la classe moyenne qui a été déclassée et qui rejoint doucement la classe populaire, s'est révoltée...
LA SOLUTION
Taper sur la seule classe qui ne se plaint pas.
La classe moyenne "supérieure".
Les aisés.
Il y en a plus que de riches ou hyper riches.
On n'aura jamais besoin d'eux si on quitte un jour la politique pour revenir dans le business.
Ils ne manifestent pas.
On trouve pêle même dedans les retraités qui perçoivent plus de 2000 € de pensions, les salariés du privé qui gagnent plus de 3500 ou 4000€, les entrepreneurs, les professions libérales.
LA CIBLE
La cible c'est eux.
L'idée est simple.
Accélérer le transfert entre la classe moyenne supérieure et la classe moyenne inférieure.
Dernier exemple en date: Darmanin qui a précisé hier qu'en conditionnant les niches fiscales à des conditions de revenus on "peut baisser les tranches d'impôt sur le revenu des gens qui gagnent 1700€ par mois de 180 € en moyenne".
Vive la lutte des classes.
A bas la classe moyenne "supérieure"
ET PENDANT CE TEMPS
bien sûr, on ne s'attache pas à l'essentiel.
Par manque de courage.
La réforme à faire en priorité c'est la baisse des dépenses publiques.
Sans baisse des dépenses publiques, on...
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