Morning du 18 juillet, L'ETAT DE L'ECONOMIE AMERICAINE
Publié le 18 juillet 2018
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TOUT VA BIEN SAUF...
Jay Powell considère que l'économie Américaine, va bien, très bien même. Le marché de l'emploi est toujours aussi bien orienté, l'investissement par les entreprises continue à progresser. Rajoutez à cela l'optimisme des ménages et l'impact de la baisse des impôts et vous avez une vision positive de l'économie sauf si la guérilla commerciale se transforme en guerre commerciale.
UN VRAI FACTEUR D'INCERTITUDES
Jay Powell est inquiet. Selon lui, une hausse durable des droits de douane aurait un impact extrêmement négatif sur la croissance américaine. La banque Centrale Américaine ne peut pas interférer dans la politique commerciale mais elle restera vigilante et prête à dégainer ses liquidités si la croissance ralentissait. Il a rajouté que pour lui l'Union Européenne n'était pas un "foe", un ennemi...contrairement à ce qu'avait déclaré Trump.
UN ACCORD HISTORIQUE
Les "ennemis" de Trump essaient de s'organiser et de se rassembler. Hier le Japon et l'Union Européenne ont signé un accord de libre échange entre les deux zones économiques. C'est le plus gros deal commerciale de l'histoire. 30% du PIB mondial et 600 millions d'habitants.
TRUMP ENCORE
Trump a du faire face à un torrent de réactions négatives après son soutien affiché pour Poutine dans l'affaire de l'ingérence de la Russie dans les élections Américaines. Même son propre camp a été outré... Il a donc du faire machine arrière hier. De façon très maladroite. Comme dab.
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
Jay Powell considère que l'économie Américaine, va bien, très bien même. Le marché de l'emploi est toujours aussi bien orienté, l'investissement par les entreprises continue à progresser. Rajoutez à cela l'optimisme des ménages et l'impact de la baisse des impôts et vous avez une vision positive de l'économie sauf si la guérilla commerciale se transforme en guerre commerciale.
UN VRAI FACTEUR D'INCERTITUDES
Jay Powell est inquiet. Selon lui, une hausse durable des droits de douane aurait un impact extrêmement négatif sur la croissance américaine. La banque Centrale Américaine ne peut pas interférer dans la politique commerciale mais elle restera vigilante et prête à dégainer ses liquidités si la croissance ralentissait. Il a rajouté que pour lui l'Union Européenne n'était pas un "foe", un ennemi...contrairement à ce qu'avait déclaré Trump.
UN ACCORD HISTORIQUE
Les "ennemis" de Trump essaient de s'organiser et de se rassembler. Hier le Japon et l'Union Européenne ont signé un accord de libre échange entre les deux zones économiques. C'est le plus gros deal commerciale de l'histoire. 30% du PIB mondial et 600 millions d'habitants.
TRUMP ENCORE
Trump a du faire face à un torrent de réactions négatives après son soutien affiché pour Poutine dans l'affaire de l'ingérence de la Russie dans les élections Américaines. Même son propre camp a été outré... Il a donc du faire machine arrière hier. De façon très maladroite. Comme dab.
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