Morning du 10 mars, Encore une occasion manquée !
Publié le 10 mars 2025
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Doucement certes, trop doucement, mais c'était un début.
L'idée que la France devait faire des économies, que la situation financière du pays était fragile et que nous devions tous nous serrer un peu la ceinture.
Et voilà qu'on dégaine à nouveau le "quoiqu'il en coûte".
Quel gâchis.
NOUS N'Y ARRIVERONS JAMAIS
Je suis totalement découragé.
Et pourtant j'ai toujours essayé d'y croire.
Croire qu'un jour nous aurions, soit un homme politique courageux qui était prêt à sacrifier sa carrière pour imposer les réformes nécessaires (ça, ça fait longtemps que je n'y crois plus...), ou qu'un jour nous serions dos au mur face aux marchés, face à l'Allemagne et nos partenaires européens et face aux agences de notation.
DEPUIS QUELQUES MOIS...
...avec la chute du gouvernement Barnier, puis le gouvernement Bayrou, on parlait, on en parlait seulement, d'économies, de baisses des dépenses publiques et bien sûr, comme toujours de hausse d'impôts.
Mais l'idée que l'argent magique avait disparu entrait dans les esprits.
Doucement, très doucement.
ET PATATRAS
Voilà qu'une fois de plus, on explique aux Français qu'en cas d' "urgence", on peut faire sauter tous les verrous budgétaires et distribuer à nouveau de l'argent magique.
Après l'urgence sanitaire du COVID.
Voici venu le temps de l'urgence militaire.
Et du quoi qu'il en coûte version guerre.
JE LAISSE...
...les spécialistes de la géopolitique et de la stratégie militaire déterminer si, comme TF1 l'affichait hier soir dans son 20 heures, il y a "menaces de guerre", et si la Russie est sur le point de nous attaquer.
Comme pendant le Covid où tout le monde était devenu médecin, aujourd'hui tout le monde est un expert militaire.
Pas moi.
EN REVANCHE
Je sais qu'il y a une autre urgence.
Une URGENCE FINANCIÈRE.
L'Allemagne peut se relancer massivement et elle va le faire : ses comptes budgétaires et sa dette sont impeccables.
Mais nous n'en avons pas du tout les moyens.
Avec notre déficit et notre dette abyssaux.
On va une fois de plus nous exempter de limite à 3% du PIB pour notre déficit.
Et nous permettre une fois de plus d'échapper aux...
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
L'idée que la France devait faire des économies, que la situation financière du pays était fragile et que nous devions tous nous serrer un peu la ceinture.
Et voilà qu'on dégaine à nouveau le "quoiqu'il en coûte".
Quel gâchis.
NOUS N'Y ARRIVERONS JAMAIS
Je suis totalement découragé.
Et pourtant j'ai toujours essayé d'y croire.
Croire qu'un jour nous aurions, soit un homme politique courageux qui était prêt à sacrifier sa carrière pour imposer les réformes nécessaires (ça, ça fait longtemps que je n'y crois plus...), ou qu'un jour nous serions dos au mur face aux marchés, face à l'Allemagne et nos partenaires européens et face aux agences de notation.
DEPUIS QUELQUES MOIS...
...avec la chute du gouvernement Barnier, puis le gouvernement Bayrou, on parlait, on en parlait seulement, d'économies, de baisses des dépenses publiques et bien sûr, comme toujours de hausse d'impôts.
Mais l'idée que l'argent magique avait disparu entrait dans les esprits.
Doucement, très doucement.
ET PATATRAS
Voilà qu'une fois de plus, on explique aux Français qu'en cas d' "urgence", on peut faire sauter tous les verrous budgétaires et distribuer à nouveau de l'argent magique.
Après l'urgence sanitaire du COVID.
Voici venu le temps de l'urgence militaire.
Et du quoi qu'il en coûte version guerre.
JE LAISSE...
...les spécialistes de la géopolitique et de la stratégie militaire déterminer si, comme TF1 l'affichait hier soir dans son 20 heures, il y a "menaces de guerre", et si la Russie est sur le point de nous attaquer.
Comme pendant le Covid où tout le monde était devenu médecin, aujourd'hui tout le monde est un expert militaire.
Pas moi.
EN REVANCHE
Je sais qu'il y a une autre urgence.
Une URGENCE FINANCIÈRE.
L'Allemagne peut se relancer massivement et elle va le faire : ses comptes budgétaires et sa dette sont impeccables.
Mais nous n'en avons pas du tout les moyens.
Avec notre déficit et notre dette abyssaux.
On va une fois de plus nous exempter de limite à 3% du PIB pour notre déficit.
Et nous permettre une fois de plus d'échapper aux...
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