Morning du 13 décembre, La BCE me fatigue
Publié le 13 décembre 2024
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De 0.25% seulement.
Une toute petite baisse.
Alors que l'Allemagne est en récession.
Que la France est à l'arrêt.
Que l'inflation baisse et que la désinflation s'accélère.
Alors que la Banque centrale suisse a coupé ses taux de moitié à 0.50%.
Incompréhensible.
Cela devient lassant cette histoire.
GROSSE FATIGUE
Christine Lagarde reconnaît que plusieurs membres du Conseil souhaitaient une baisse des taux plus marquée.
Mais la BCE s'en est tenue à une micro-baisse de taux.
0.25 seulement.
Rien donc, ou presque rien.
3%
C'est le niveau des taux à la BCE.
3%.
Dans l'absolu ce n'est pas très élevé.
Mais nous étions à des taux négatifs il y a deux ans.
Et l'inflation en zone euro est autour de 2%.
ABSURDE
Ce qui est absurde c'est que la BCE prévient que la croissance pourrait être plus faible que prévue.
"Pourrait» ?
Mais c'est déjà le cas.
Alors pourquoi maintenir des taux (trop) élevés ?
Franchement, je suis incapable de vous l'expliquer car je suis incapable de comprendre.
SOIT LA BCE...
...est beaucoup plus intelligente que nous et elle a des infos sur un redécollage de l'inflation et de la croissance que nous n'avons pas.
Soit elle continue à prendre de mauvaises décisions comme c'est le cas depuis de nombreuses années.
POURQUOI ÇA M’ÉNERVE AUTANT ?
Parce qu'il y a le feu.
La croissance est en berne.
Il y a le feu et on essaie d'éteindre un incendie avec un seau à eau.
Et nous ne sommes pas au bout de nos peines avec un Trump qui va pilonner l'Europe de droits de douane pour nous obliger à accepter un deal favorable aux États-Unis.
BREF
C'est une erreur.
Encore une.
Et ce ne sera pas la dernière.
À PART ÇA ? QUOI DE NEUF ?
LA PERSON OF THE YEAR
Time Magazine.
Trump.
Again.
Comme en 2016.
Et il a fêté ça en faisant sonner la cloche de la Bourse de New York.
Détonnant.
On ne va pas s'ennuyer pendant 4 ans.
MONSIEUR PLUS
Trump continue à obtenir ce qu'il réclame, voire plus, avant même d'être entré en fonction.
Il menaçait de quitter l'OTAN si les pays membres, et en particulier les Européens, ne consacraient pas 2.5% de leur PIB chaque année à des dépenses...
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
Une toute petite baisse.
Alors que l'Allemagne est en récession.
Que la France est à l'arrêt.
Que l'inflation baisse et que la désinflation s'accélère.
Alors que la Banque centrale suisse a coupé ses taux de moitié à 0.50%.
Incompréhensible.
Cela devient lassant cette histoire.
GROSSE FATIGUE
Christine Lagarde reconnaît que plusieurs membres du Conseil souhaitaient une baisse des taux plus marquée.
Mais la BCE s'en est tenue à une micro-baisse de taux.
0.25 seulement.
Rien donc, ou presque rien.
3%
C'est le niveau des taux à la BCE.
3%.
Dans l'absolu ce n'est pas très élevé.
Mais nous étions à des taux négatifs il y a deux ans.
Et l'inflation en zone euro est autour de 2%.
ABSURDE
Ce qui est absurde c'est que la BCE prévient que la croissance pourrait être plus faible que prévue.
"Pourrait» ?
Mais c'est déjà le cas.
Alors pourquoi maintenir des taux (trop) élevés ?
Franchement, je suis incapable de vous l'expliquer car je suis incapable de comprendre.
SOIT LA BCE...
...est beaucoup plus intelligente que nous et elle a des infos sur un redécollage de l'inflation et de la croissance que nous n'avons pas.
Soit elle continue à prendre de mauvaises décisions comme c'est le cas depuis de nombreuses années.
POURQUOI ÇA M’ÉNERVE AUTANT ?
Parce qu'il y a le feu.
La croissance est en berne.
Il y a le feu et on essaie d'éteindre un incendie avec un seau à eau.
Et nous ne sommes pas au bout de nos peines avec un Trump qui va pilonner l'Europe de droits de douane pour nous obliger à accepter un deal favorable aux États-Unis.
BREF
C'est une erreur.
Encore une.
Et ce ne sera pas la dernière.
À PART ÇA ? QUOI DE NEUF ?
LA PERSON OF THE YEAR
Time Magazine.
Trump.
Again.
Comme en 2016.
Et il a fêté ça en faisant sonner la cloche de la Bourse de New York.
Détonnant.
On ne va pas s'ennuyer pendant 4 ans.
MONSIEUR PLUS
Trump continue à obtenir ce qu'il réclame, voire plus, avant même d'être entré en fonction.
Il menaçait de quitter l'OTAN si les pays membres, et en particulier les Européens, ne consacraient pas 2.5% de leur PIB chaque année à des dépenses...
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