Morning du 9 décembre, Nous sommes déjà le 20 janvier
Publié le 9 décembre 2024
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La date officielle de l'investiture de Donald Trump est le 20 janvier, mais on a la forte impression qu'il est déjà entré en fonction.
Et qu'il est très actif.
Il décide, il menace, il avertit.
Et le plus étonnant est que les évènements semblent aller dans son sens alors qu'il n'est pas encore officiellement au pouvoir.
Explications.
TRUMP PRÉSIDENT
Il n'y aura pas de période de transition entre les deux administrations.
Trump est déjà aux manettes.
C'est très étonnant et c'est une première.
Il y a eu sa présence à la cérémonie de réouverture de Notre-Dame, mais on assiste surtout à une série d'injonctions et de menaces qui semblent porter leurs fruits avant même qu'elles soient mises à exécution.
AU MOYEN-ORIENT
Tout s'enchaîne à une vitesse étonnante.
La Syrie est tombée.
En quelques jours.
La Syrie, ex-alliée ou proxy de l'Iran, un des pays dans le viseur de Trump.
Trump a menacé le Hamas et l'Iran si les otages ne sont pas libérés avant son arrivée au pouvoir et on apprend que le Hamas essaie de retrouver les otages en vue d'un cessez-le-feu.
EN UKRAINE
Il a déjà rencontré Zelensky.
À Paris.
Et il a été clair.
Il faut un cessez-le-feu.
Et il diminuera ses livraisons d'armes.
Avec un tweet dans lequel il annonce qu'il ramènera "Vladimir, qu'il connaît bien" à la table de négociations.
DROITS DE DOUANE
Il a suffi qu'il menace plusieurs pays de foudre douanière pour que ce soit la panique complète et que tout le monde, de la Chine à l'Europe, lui fasse savoir, directement ou indirectement,qu'ils sont prêts à négocier.
Il obtiendra les deals qu'il souhaite très rapidement.
L'ADMINISTRATION
Il a prévu une purge majeure de l'administration.
Mais là encore, il n'aura plus grand-chose à faire, car les démissions "volontaires" s'enchaînent à une vitesse fulgurante.
Il va trouver place nette en arrivant...
Il n'aura plus qu'à installer ses fidèles et à se lancer dans sa croisade contre la réglementation.
Et il s'est même payé le luxe d'annoncer qu'il maintiendrait, contre toute attente, le patron de la FED jusqu'à la fin de son mandat en mai 2026.
DÉCIDÉMENT
Le temps passe très...
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
Et qu'il est très actif.
Il décide, il menace, il avertit.
Et le plus étonnant est que les évènements semblent aller dans son sens alors qu'il n'est pas encore officiellement au pouvoir.
Explications.
TRUMP PRÉSIDENT
Il n'y aura pas de période de transition entre les deux administrations.
Trump est déjà aux manettes.
C'est très étonnant et c'est une première.
Il y a eu sa présence à la cérémonie de réouverture de Notre-Dame, mais on assiste surtout à une série d'injonctions et de menaces qui semblent porter leurs fruits avant même qu'elles soient mises à exécution.
AU MOYEN-ORIENT
Tout s'enchaîne à une vitesse étonnante.
La Syrie est tombée.
En quelques jours.
La Syrie, ex-alliée ou proxy de l'Iran, un des pays dans le viseur de Trump.
Trump a menacé le Hamas et l'Iran si les otages ne sont pas libérés avant son arrivée au pouvoir et on apprend que le Hamas essaie de retrouver les otages en vue d'un cessez-le-feu.
EN UKRAINE
Il a déjà rencontré Zelensky.
À Paris.
Et il a été clair.
Il faut un cessez-le-feu.
Et il diminuera ses livraisons d'armes.
Avec un tweet dans lequel il annonce qu'il ramènera "Vladimir, qu'il connaît bien" à la table de négociations.
DROITS DE DOUANE
Il a suffi qu'il menace plusieurs pays de foudre douanière pour que ce soit la panique complète et que tout le monde, de la Chine à l'Europe, lui fasse savoir, directement ou indirectement,qu'ils sont prêts à négocier.
Il obtiendra les deals qu'il souhaite très rapidement.
L'ADMINISTRATION
Il a prévu une purge majeure de l'administration.
Mais là encore, il n'aura plus grand-chose à faire, car les démissions "volontaires" s'enchaînent à une vitesse fulgurante.
Il va trouver place nette en arrivant...
Il n'aura plus qu'à installer ses fidèles et à se lancer dans sa croisade contre la réglementation.
Et il s'est même payé le luxe d'annoncer qu'il maintiendrait, contre toute attente, le patron de la FED jusqu'à la fin de son mandat en mai 2026.
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