Morning du 4 décembre, La BCE doit baisser ses taux
Publié le 4 décembre 2024
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Pour prendre une décision sur les taux d'intérêt.
Et elle doit baisser ses taux.
Pas d'un quart de point.
Mais de 0.50%.
Et même si elle baisse ses taux de 0.50%, elle sera encore trop en retard par rapport à la situation économique en Europe.
L'EUROPE PATINE
La croissance dans la zone euro est faible.
Et la situation ne va pas s'arranger.
Du fait de l'arrêt du moteur allemand.
Du fait de la pression à venir des États-Unis.
Et pourtant la BCE hésite, tergiverse, perd du temps.
Un temps précieux.
20%
Comme le notent les Échos ce matin, 20% seulement des opérateurs de marché anticipent une baisse de taux de 0.50%.
Le consensus mise plutôt sur une baisse de taux de 0.25%.
Mais nous avons encore l'espoir que la BCE se réveille enfin et prenne conscience de l'ampleur du ralentissement économique.
UN TRACK RECORD D'ERREURS
Nous le disons souvent ici.
La BCE de Christine Lagarde a accumulé les erreurs sur les dernières années.
Des erreurs qui ont coûté cher à l'Europe.
Elle a maintenu des taux négatifs alors que l'inflation redémarrait, une inflation dont elle nous disait qu'elle était temporaire.
Puis elle a panique et remonté ses taux trop vite et trop haut asphyxiant toute possibilité de rebond de la croissance.
Et maintenant elle hésite et ne baisse pas les taux assez rapidement.
ALORS QUE L'INFLATION...
...est en train de disparaître d'Europe.
On se fout d'attendre les 2% magiques.
Que ce soit 2.3, 2.4 ou 1.9%, on est en désinflation.
Et si on n'y prend pas garde, nous allons entrer en déflation.
Incompréhensible, cet aveuglement de la BCE.
L'ESPOIR POUR L'EUROPE...
...est en Allemagne.
Avec les élections de février.
Si une coalition forte dirige le pays, elle pourra faire sauter le Schwartze Nul, cette règle constitutionnelle qui interdit les déficits budgétaires.
Et permettre des plans de relance massifs, par l'investissement, pas par la consommation comme en France.
Même la Bundesbank, pourtant adepte de la rigueur, est pour.
EN ATTENDANT
Il y a urgence.
Et la BCE doit agir vite. Et fort.
A PART CA?
QUOI DE NEUF?
JE FAIS UN BREAK AUJOURD'HUI
Je ne dirai pas un mot de la...
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
Et elle doit baisser ses taux.
Pas d'un quart de point.
Mais de 0.50%.
Et même si elle baisse ses taux de 0.50%, elle sera encore trop en retard par rapport à la situation économique en Europe.
L'EUROPE PATINE
La croissance dans la zone euro est faible.
Et la situation ne va pas s'arranger.
Du fait de l'arrêt du moteur allemand.
Du fait de la pression à venir des États-Unis.
Et pourtant la BCE hésite, tergiverse, perd du temps.
Un temps précieux.
20%
Comme le notent les Échos ce matin, 20% seulement des opérateurs de marché anticipent une baisse de taux de 0.50%.
Le consensus mise plutôt sur une baisse de taux de 0.25%.
Mais nous avons encore l'espoir que la BCE se réveille enfin et prenne conscience de l'ampleur du ralentissement économique.
UN TRACK RECORD D'ERREURS
Nous le disons souvent ici.
La BCE de Christine Lagarde a accumulé les erreurs sur les dernières années.
Des erreurs qui ont coûté cher à l'Europe.
Elle a maintenu des taux négatifs alors que l'inflation redémarrait, une inflation dont elle nous disait qu'elle était temporaire.
Puis elle a panique et remonté ses taux trop vite et trop haut asphyxiant toute possibilité de rebond de la croissance.
Et maintenant elle hésite et ne baisse pas les taux assez rapidement.
ALORS QUE L'INFLATION...
...est en train de disparaître d'Europe.
On se fout d'attendre les 2% magiques.
Que ce soit 2.3, 2.4 ou 1.9%, on est en désinflation.
Et si on n'y prend pas garde, nous allons entrer en déflation.
Incompréhensible, cet aveuglement de la BCE.
L'ESPOIR POUR L'EUROPE...
...est en Allemagne.
Avec les élections de février.
Si une coalition forte dirige le pays, elle pourra faire sauter le Schwartze Nul, cette règle constitutionnelle qui interdit les déficits budgétaires.
Et permettre des plans de relance massifs, par l'investissement, pas par la consommation comme en France.
Même la Bundesbank, pourtant adepte de la rigueur, est pour.
EN ATTENDANT
Il y a urgence.
Et la BCE doit agir vite. Et fort.
A PART CA?
QUOI DE NEUF?
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