Morning du 21 octobre, Cette économie que le monde envie
Publié le 21 octobre 2024
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Ce n'est pas non plus celle de l'Europe.
Oui, vous avez deviné.
C'est l'économie américaine.
Le dossier de "The Economist" dresse un tableau de l'écrasante domination de l'économie américaine.
Il sonne comme un KO.
Un KO total. Sans appel.
Un constat fascinant.
Mais dur.
Très dur.
JUSTE LES TITRES...
...du dossier :
"The envy of the world.
"The American economy has left other rich countries in the dust". Rien que ça...
"Getting more from more" sur la productivité.
"Oil kings"
"America's dominance of stockmarkets".
N'en jetez plus !
On a compris !
LE CONSTAT EN CHIFFRES
Depuis 30 ans, les US ont crû beaucoup plus vite que toutes les autres économies.
En 1990, le PIB américain représentait 2/5 du PIB du G7 des pays développés.
Aujourd'hui c'est 50%.
Par habitant ils sont aujourd'hui 40% au dessus de l'Europe de l'Ouest, et 60% au dessus du Japon.
ET POUR CEUX...
...qui ont encore l'image d'un pays de low cost jobs : le salaire moyen dans l’État le plus pauvre des États-Unis, le Mississippi, est au dessus des salaires moyens en Grande-Bretagne, au Canada, ou en Allemagne.
Et les rebonds sont puissants.
Même après les crises : les US sont le seul pays du G20 où la production et l'emploi sont au dessus des niveaux pré-Covid.
LES EXPLICATIONS
La taille du marché.
La démographie.
Les choix énergétiques souvent décriés qui ont fait des US un pays autonome et exportateur d'énergie.
La mobilité et la flexibilité de l'emploi.
La puissance de la machine financière et notamment de l'investissement dans les entreprises de la start-up aux grandes entreprises.
La puissance de la Bourse.
MAIS AUSSI
La flexibilité de la réglementation.
Tout le contraire de l'Europe.
L'implication limitée de l’État dans l'économie.
TOUT N'EST PAS ROSE CERTES
L'espérance de vie est de 3 ans inférieure à celle de l'Europe Occidentale.
Les problèmes de santé publique.
La dette et le déficit.
Et évidemment l'inégalité. Le grand argument des critiques du modèle américain.
Une inégalité qui explose, mais qui explose plus par le haut que par le bas.
La redistribution fonctionne mieux qu'il y a 30...
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
Oui, vous avez deviné.
C'est l'économie américaine.
Le dossier de "The Economist" dresse un tableau de l'écrasante domination de l'économie américaine.
Il sonne comme un KO.
Un KO total. Sans appel.
Un constat fascinant.
Mais dur.
Très dur.
JUSTE LES TITRES...
...du dossier :
"The envy of the world.
"The American economy has left other rich countries in the dust". Rien que ça...
"Getting more from more" sur la productivité.
"Oil kings"
"America's dominance of stockmarkets".
N'en jetez plus !
On a compris !
LE CONSTAT EN CHIFFRES
Depuis 30 ans, les US ont crû beaucoup plus vite que toutes les autres économies.
En 1990, le PIB américain représentait 2/5 du PIB du G7 des pays développés.
Aujourd'hui c'est 50%.
Par habitant ils sont aujourd'hui 40% au dessus de l'Europe de l'Ouest, et 60% au dessus du Japon.
ET POUR CEUX...
...qui ont encore l'image d'un pays de low cost jobs : le salaire moyen dans l’État le plus pauvre des États-Unis, le Mississippi, est au dessus des salaires moyens en Grande-Bretagne, au Canada, ou en Allemagne.
Et les rebonds sont puissants.
Même après les crises : les US sont le seul pays du G20 où la production et l'emploi sont au dessus des niveaux pré-Covid.
LES EXPLICATIONS
La taille du marché.
La démographie.
Les choix énergétiques souvent décriés qui ont fait des US un pays autonome et exportateur d'énergie.
La mobilité et la flexibilité de l'emploi.
La puissance de la machine financière et notamment de l'investissement dans les entreprises de la start-up aux grandes entreprises.
La puissance de la Bourse.
MAIS AUSSI
La flexibilité de la réglementation.
Tout le contraire de l'Europe.
L'implication limitée de l’État dans l'économie.
TOUT N'EST PAS ROSE CERTES
L'espérance de vie est de 3 ans inférieure à celle de l'Europe Occidentale.
Les problèmes de santé publique.
La dette et le déficit.
Et évidemment l'inégalité. Le grand argument des critiques du modèle américain.
Une inégalité qui explose, mais qui explose plus par le haut que par le bas.
La redistribution fonctionne mieux qu'il y a 30...
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