On a souvent tendance à oublier ce vieil adage boursier.

Morning du 25 juillet, Les arbres ne montent jamais jusqu'au ciel

On a souvent tendance à oublier ce vieil adage boursier.


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Et cela a été le cas notamment avec la tech américaine ou encore le luxe français.
La journée d'hier a été étonnante.
Des deux côtés de l'Atlantique.
Explications.
DES PERFORMANCES...
... auxquelles on n'était plus habitué.
Le Nasdaq en chute de 3.64% avec Tesla en baisse de 12.33% et Nvidia en baisse de 6.80%.
LVMH en baisse de près de 5%. Oui LVMH.
LVMH et NVIDIA deux icônes de la Bourse.
Deux moteurs de la hausse.
Deux actions qui démentaient l'adage "les arbres ne montent pas jusqu'au ciel".

COMPAREE À LA HAUSSE FULGURANTE...
... des derniers mois et des dernières années, que ce soit pour le Nasdaq, Nvidia ou encore LVMH, la baisse d'hier n'est que marginale.
Une correction pour l'instant.
Et pas un retournement de tendance.
Et un rappel que même les actions qui ne baissent jamais peuvent baisser un jour...

POUR INFORMATION
Nous avons réduit notre poche actions dans notre Gestion Pilotée à son minimum.
En sortant notamment d'une partie des actions françaises mais également... du Nasdaq il y a seulement quelques jours.

1000 MILLIARDS DE DOLLARS
C'est tout simplement le montant qui s'est volatilisé hier rien que sur le Nasdaq.
Des chiffres qui donnent le tournis.
À l'origine de la baisse, les résultats de Tesla et d'Alphabet/Google qui ont déçu.
Et la rotation boursière (voir ici la newsletter que nous avons consacrée à ce sujet) qui a commencé après le record historique du Nasdaq le 11 Juillet.
Les 7 Magnifiques ont tout baissé hier. De 3 à 7%.
On n'avait plus l'habitude.

POUR LE LUXE FRANÇAIS...
... le déclencheur c'est la Chine.
Quand la Chine patine, la croissance du luxe, et de LVMH en particulier, patine.
Et on a donc réalisé que même LVMH pouvait baisser.
Même LVMH...

À PART CA ?
QUOI DE NEUF?

L'ÉCONOMIE DE LA ZONE EURO
Elle ralentit.
Selon un indice très suivi de sondage des directeurs d'achat de la zone euro.
Il est tout juste au-dessus de 50.
Et 50 c'est la limite qui sépare la croissance de la contraction.
En cause, le ralentissement du secteur industriel.
En particulier en Allemagne.
L'effet élections législatives en France n'était pas...
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