Morning du 4 juillet, Les Américains font la fête
Publié le 4 juillet 2024
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La fête de l'indépendance.
Et la fête des États-Unis.
Des États-Unis qui ont de quoi faire la fête au plan économique.
Ils ont pour l'instant raflé la mise.
Explications.
INDEPENDANCE DAY
Cette année, la fête nationale américaine a une saveur particulière.
Il y a les élections bien sûr avec l'incertitude grandissante sur la candidature de Biden.
Mais il y a surtout ce parfum d'écrasante domination économique.
Un carton (presque) plein pour l'économie américaine.
COMMENÇONS PAR L'INDÉPENDANCE.
Énergétique.
La face des États-Unis mais aussi la face du monde a changé depuis que les États-Unis sont totalement indépendants au plan de l'énergie.
Indépendants.
Et même exportateurs.
De pétrole.
Et de Gaz Naturel Liquéfié dont les exportations ont explosé depuis la guerre en Ukraine et les sanctions contre la Russie.
L'UKRAINE JUSTEMENT
Le vrai gagnant de cette guerre ?
Les États-Unis.
Ils ont affaibli la Russie.
Mais ils bénéficient surtout de l'explosion des demandes d'armement.
Et si Trump devient Président, il obligera tous les membres de l'OTAN à dépenser 2% de leur PIB pour leur défense et une très large partie de ces dépenses devront aller vers les États-Unis pour avoir en retour la protection américaine.
LA CHINE
La Russie est affaiblie mais la Chine traverse elle aussi une crise majeure.
Rappelez-vous qu'il y a encore quelques mois, certains annonçaient que la Chine allait devenir la première puissance mondiale.
Cette perspective s'éloigne.
La Chine est confrontée à un ralentissement de la croissance du fait de l'explosion de la bulle immobilière mais aussi des sanctions américaines.
La volonté de "découplage" américain pèse lourdement sur l'économie chinoise
LA CROISSANCE
On attendait un "hard landing", puis un "soft landing", du fait de l'envolée des taux d'intérêt, mais l'économie n'a toujours pas atterri.
Elle commence à peine à ralentir, mais elle a fait plus que résister du fait de la résilience de la consommation des ménages et du fait des plans massifs d'investissement, et notamment l'IRA, un plan visant à privilégier les investissements aux États-Unis.
ET ENFIN
L’écrasante...
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
Et la fête des États-Unis.
Des États-Unis qui ont de quoi faire la fête au plan économique.
Ils ont pour l'instant raflé la mise.
Explications.
INDEPENDANCE DAY
Cette année, la fête nationale américaine a une saveur particulière.
Il y a les élections bien sûr avec l'incertitude grandissante sur la candidature de Biden.
Mais il y a surtout ce parfum d'écrasante domination économique.
Un carton (presque) plein pour l'économie américaine.
COMMENÇONS PAR L'INDÉPENDANCE.
Énergétique.
La face des États-Unis mais aussi la face du monde a changé depuis que les États-Unis sont totalement indépendants au plan de l'énergie.
Indépendants.
Et même exportateurs.
De pétrole.
Et de Gaz Naturel Liquéfié dont les exportations ont explosé depuis la guerre en Ukraine et les sanctions contre la Russie.
L'UKRAINE JUSTEMENT
Le vrai gagnant de cette guerre ?
Les États-Unis.
Ils ont affaibli la Russie.
Mais ils bénéficient surtout de l'explosion des demandes d'armement.
Et si Trump devient Président, il obligera tous les membres de l'OTAN à dépenser 2% de leur PIB pour leur défense et une très large partie de ces dépenses devront aller vers les États-Unis pour avoir en retour la protection américaine.
LA CHINE
La Russie est affaiblie mais la Chine traverse elle aussi une crise majeure.
Rappelez-vous qu'il y a encore quelques mois, certains annonçaient que la Chine allait devenir la première puissance mondiale.
Cette perspective s'éloigne.
La Chine est confrontée à un ralentissement de la croissance du fait de l'explosion de la bulle immobilière mais aussi des sanctions américaines.
La volonté de "découplage" américain pèse lourdement sur l'économie chinoise
LA CROISSANCE
On attendait un "hard landing", puis un "soft landing", du fait de l'envolée des taux d'intérêt, mais l'économie n'a toujours pas atterri.
Elle commence à peine à ralentir, mais elle a fait plus que résister du fait de la résilience de la consommation des ménages et du fait des plans massifs d'investissement, et notamment l'IRA, un plan visant à privilégier les investissements aux États-Unis.
ET ENFIN
L’écrasante...
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