Nouvauté, MeilleurPlacement lance son moteur de recherche Pinel
Outil d'aide à la recherche
Parce qu'il constitue un placement refuge et qu'il assure des gains sur plusieurs années sous forme de réductions d'impôts, l'investissement en immobilier résidentiel sous couvert de la loi Pinel parait particulièrement adapté par temps de crise. Sélection du programme, recherche du financement, délai de signature, etc. il n'y a pas de temps à perdre pour ceux qui veulent réduire leur impôt sur le revenu dès l'année prochaine.
Heureusement, MeilleurPlacement vous accompagne dans chaque étape de votre investissement. Et pour la sélection du bien, nous avons lancé un moteur de recherche vous permettant en quelques minutes d'identifier des opportunités d'investissement adapté à votre besoin.
Il vous suffira de répondre à quelques questions comme le type de biens recherché (nombre de pièces, terrasse ou balcon, exposition, etc.), la ou les régions visée(s), le budget, ou encore la date de livraison souhaitée. En interrogeant immédiatement notre base de données, nous vous donnerons les biens qui correspondent à votre recherche. C'est très simple et très rapide. Essayez-le :
>> J'accède au moteur de recherche Pinel de MeilleurPlacement
Pinel : un marché refuge en pénurie d'offres
Le dispositif Pinel a été mis en place en septembre 2014 et a été prorogé au moins jusqu’au 31 décembre 2021. Il avait alors succédé au dispositif Duflot dont l'efficacité avait été plus que contestée.
Ce dispositif a pour but de relancer le secteur de l'immobilier locatif, en incitant le contribuable à investir dans les logements neufs en échange d'un avantage fiscal. En contrepartie, le propriétaire s'engage à louer son bien nu pendant une durée minimum de 6 ans, reconductible 2 fois 3 ans, tout en respectant un plafond de loyer vis-à-vis de son locataire. Le bien doit être affecté à la résidence principale du locataire. Impossible sous l’ère Duflot, le Pinel autorise de louer le logement à son ascendant ou son descendant, dans un foyer fiscal séparé et satisfaisant aux conditions de ressources définies par la Loi Pinel. Une formule plus souple et plus liquide, donc plus rassurante pour ceux qui veulent investir dans la pierre.
L'immobilier, notamment l'immobilier résidentiel, est surtout un actif refuge, décorrélé des cycles économiques. Malgré l'arrêt brutal des transactions immobilières pendant le confinement, et les craintes économiques qui persistent, les prix des logements neufs ont été peu affectés par la crise. La raison est simple : la demande de logement reste élevée alors qu'il y a une pénurie d'offres. 2020 sera «une année record» avec peu de constructions, selon la fédération des promoteurs immobiliers. Si la crise a amplifié le phénomène, les constructions étaient déjà au ralenti en début d'année du fait des élections municipales. En effet, les maires sont généralement peu enclins à démarrer des chantiers avant un scrutin. Routes fermées, bruits des tractopelles et des marteaux-piqueurs, sol boueux, etc., les travaux sont mal vus par les citoyens et pourraient donc faire perdre les élections aux yeux des élus.
La crise économique, mais également la croissance démographique, nécessitent pourtant le développement d'une offre locative à loyers intermédiaires, en particulier dans les grandes agglomérations. Mais, selon Stéphane Peltier, Co-Fondateur et Directeur Général de l'Institut du Patrimoine : "pour les investisseurs qui souhaitent investir dans l'immobilier neuf sous couvert du dispositif Pinel, mieux vaut le faire aujourd'hui que demain, car demain il y aura moins d'offres et les prix ne cessent d'augmenter". En effet face à la crise sanitaire qui s’érige inévitablement en crise économique, le gouvernement, via CDC Habitat, le bras armé de la caisse des dépôts, a décidé de mettre la main sur 40 000 logements neufs auprès des promoteurs de la place. Des constructions qui étaient destinées au marché du Pinel, ce qui va donc réduire par deux l'offre pour les investisseurs. Et donc soutenir les prix. Plus que jamais, la sélection du bon programme (prix, emplacement, surface adaptée à la demande) est primordial et il est donc plus que recommandé de se faire accompagner par un professionnel du secteur.
Les conseillers MeilleurPlacement, en compagnie de notre partenaire professionnel de l'immobilier, peuvent ainsi vous présenter une sélection de programmes défiscalisants qu'ils jugent attractifs, selon votre profil.
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Une réduction d'impôt sur plusieurs années
Vous venez de payer un impôt sur le revenu particulièrement salé, et/ou vous savez que vous payerez beaucoup d'impôt l'année prochaine ? Pour réduire vos impôts sur les revenus de cette année, et des années suivantes, le dispositif de défiscalisation immobilière Pinel est particulièrement adapté.
Le principe est simple : vous investissez en immobilier dans une zone ciblée par le gouvernement, pour le mettre en location sur une durée déterminée, à un locataire avec des ressources limités et pour un loyer contrôlé. En échange vous bénéficiez d'une réduction d'impôt sur le revenu.
Pour une durée de 6 ans de location, l'avantage fiscal revient à 12% de l'investissement, et 18 % pour une durée de 9 ans, soit une réduction de 2 % par an. La réduction est néanmoins plafonnée* à un investissement de 300 000 euros (donc une réduction limitée à 54000 euros pour une durée de 9 ans)
. L’investisseur peut également choisir de proroger son engagement initial, à 12 ans, pour une réduction finale de 21% (soit 1% par an supplémentaire).
Les ressources du locataire ne doivent pas dépasser un certain plafond (selon la zone). Par exemple, les ressources annuelles d'un couple avec un enfant en zone A ne doivent pas dépasser 68 693 €. Le loyer aussi est plafonné. En zone A, il ne doit pas dépasser 12,75 € du m². Le montant des loyers, légèrement inférieur au prix du marché tout comme la tension sur le marché immobilier local des zones éligibles au dispositif Pinel facilitent la mise en location.
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Des conditions de prêt attractives... pour l'instant
Au mois de mai, le taux moyen des crédit immobiliers a augmenté de 7 points de base par rapport au mois d'avril, selon l'étude mensuelle de l'Observatoire Crédit Logement-CSA publiée début juin. Depuis décembre, le taux moyen a augmenté de 13 points de base sur l'ensemble du marché. Ce bond est une "réponse à la montée des risques et de l'incertitude sur les évolutions macroéconomiques et financières à venir", a souligné l'observatoire dans un communiqué.
Au delà de la hausse des taux, les banques ont également serré la vis sur l'octroie des crédits. Depuis le début de l'année, soit quelques semaines avant le déclenchement de la crise du coronavirus, sous la pression de Bercy et du Haut Conseil de Stabilité financière, elles ont tout à coup arrêté d’accorder des prêts au-delà de 25 ans et des fameux 33% de taux d’endettement. Le nombre de refus a ainsi augmenté au 1er trimestre 2020 (13% de crédits immobiliers accordés en moins par rapport à 2019), tout comme l’apport personnel demandé à l’emprunteur.
La crise du coronavirus pourrait accélérer le phénomène. Le contexte économique est incertain, et prêter aujourd'hui devient plus risqué, ce que la banque va intégrer notamment dans le taux. L’autre problème lié à cette hausse des taux et que, dans le même temps, le taux d’usure a été abaissé. Il s’agit du TAEG (taux annualisé effectif global) maximum légal, revu chaque trimestre par la Banque de France, au-dessus duquel il est interdit d'emprunter. Il a été abaissé de 0,10 % pour atteindre 2,51 % pour les prêts sur vingt ans et plus. C'est la seconde baisse de ce plafond cette année après une première de 0,16 % en janvier pour les prêts sur 20 ans et plus. Si cette mesure est destinée à protéger les particuliers de taux de crédit trop élevés, elle pourrait néanmoins pénaliser certains emprunteurs. Sur certains dossiers qu'elle aurait acceptés, mais pour un taux supérieur à 2.51%, la banque ne choisira pas d'abaisser son taux, ni de faire un effort sur ses frais de dossier ou sur une délégation d'assurance pour baisser le TAEG. Elle refusera le dossier, jugé un peu trop risqué.
Nul ne sait si le mouvement va continuer dans les mois qui viennent. Certes la France va subir une forte récession au deuxième trimestre, mais la reprise économique qui semble se dessiner pourrait convaincre les banques de relâcher un peu de lest. Par ailleurs, le taux des emprunts d’État français à 10 ans, qui sert de référence aux taux immobiliers, reste très bas, négatif même, à -0.038% (alors qu'il était repassé au dessus de 0% en avril).
Quoi qu'il en soit, les taux sont encore historiquement bas. Ils sont en baisse sur un an, et tout près du plancher record de novembre 2019. Le Pinel reste aussi une solution que les banques financent relativement facilement. La période est donc encore propice pour s'intéresser à un investissement immobilier Pinel à crédit. Mais cela ne va peut être pas durer.
>> Je souhaite investir en immobilier à crédit via la loi Pinel
Communication non contractuelle à but publicitaire
* Attention au plafond des niches fiscales : La Réduction d'Impôt sur le revenu pour investissement dans les FIP/FCPI, FIP Corse, GFF, Investissement Direct PME ou dans investissement dans un programme immobilier défiscalisant (type Pinel) est prise en compte dans le plafond global des niches fiscales de 10 000 €.
Comme tout investissement, l'immobilier présente des risques :
- La baisse de la valeur du placement. Le capital investi n’est pas garanti. Sa valeur évolue dans le temps, en relation étroite avec l’état de la conjoncture de l'immobilier . Cette conjoncture suit des cycles successifs, avec des phases à la hausse et à la baisse.
- La diminution des revenus locatifs. Dans un contexte économique moins favorable, la baisse des revenus locatifs versés aux associés est due à la diminution du taux d’occupation financier et/ou à la baisse du montant global des loyers versés par les locataires. Cette baisse peut être toutefois atténuée par l’effet de la mutualisation des risques grâce à la diversification immobilière et locative du portefeuille.
- La liquidité. L'immobilier n’étant pas un produit coté, il présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers. Les conditions de cession (délais, prix) peuvent ainsi varier en fonction de l’évolution du marché de l’immobilier .
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