Chaque année, quelques centaines de milliers de jeunes, bac en poche, s'apprêtent à quitter le cocon familial pour devenir étudiant. Un changement de vie. Un changement aussi pour ceux qui entament un nouveau cursus et déménagent dans une autre ville. Et un budget supplémentaire pour leurs parents. Beaucoup de parents ont épargné en amont pour disposer d'un capital pour ces nouvelles dépenses. Mais c'est souvent insuffisant. Il est souvent nécessaire d'emprunter. Et pourquoi ne pas emprunter pour acheter un logement étudiant ?

Pour financer les études des enfants (ou d'autres projets), faut-il épargner ou acheter un logement étudiant ?

Chaque année, quelques centaines de milliers de jeunes, bac en poche, s'apprêtent à quitter le cocon familial pour devenir étudiant. Un changement de vie. Un changement aussi pour ceux qui entament un nouveau cursus et déménagent dans une autre ville. Et un budget supplémentaire pour leurs parents. Beaucoup de parents ont épargné en amont pour disposer d'un capital pour ces nouvelles dépenses. Mais c'est souvent insuffisant. Il est souvent nécessaire d'emprunter. Et pourquoi ne pas emprunter pour acheter un logement étudiant ?


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Chères, très chères études


Entre le logement et les frais d’inscription, le coût des études supérieures a tendance à exploser, et ce d’autant plus si votre progéniture a l’ambition d’intégrer une grande école comme HEC ou Science Po.

Pour vous donner un ordre d’idée, alors qu’en 2009, pas une seule école n’affichait des tarifs supérieurs à 10 000 euros par an, aujourd’hui il faut compter au minimum 30 000 euros pour intégrer un cursus de 3 ans "grande école" ! Des tarifs qui peuvent facilement grimper au-dessus des 40 000 euros, voir 45 000 euros pour les plus prestigieuses écoles de commerce comme HEC, Essec, ou l’EM Lyon.

Reste un poste de dépense non négligeable : le logement ! Sans surprise, la ville la plus chère pour étudier reste Paris où les frais de la vie courante (frais de scolarité, loyer, transport, sécurité sociale, nourriture, etc.) s’élèvent en moyenne à 1200 euros par mois. Pas étonnant qu’environ un étudiant sur deux soit obligé de travailler en parallèle, un obstacle potentiellement fatal à la réussite du cursus universitaire.

Dans cette optique, en tant que parents, vous devez épargner le plus tôt possible afin de disposer d’un matelas suffisamment épais pour financer les études supérieures de vos chérubins. Et contrairement aux idées reçues, l’assurance-vie est le véhicule idéal pour ça !

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L'assurance-vie pour s'assurer un matelas de précaution


En ouvrant le plus tôt possible un contrat d’assurance-vie au nom de votre enfant, et grâce aux versements programmés, votre effort d’épargne reste modeste, mais au fil du temps, vous aller constituer un capital qui permettra à votre progéniture de financer ses études supérieures sans passer par la case emprunt… et donner le meilleur départ possible à vos enfants pour commencer leur vie active sans être criblé de dettes.

A titre d'exemple, une personne verse 300 euros tous les mois sur un compte non rémunéré constitue une épargne de 72 000 euros au bout de 20 ans. En basant sur la même hypothèse, un épargnant qui verse dans un contrat d’assurance-vie offrant un rendement de 2,5%* par an, aura un capital de 94 648 euros à cette même échéance de 20 ans.



Autre atout, et de taille si votre progéniture a tendance à dilapider son argent de poche, avec l'assurance vie, vous pouvez définir les conditions d’utilisation des fonds par l'enfant. Parce qu‘à 20 ans, la gestion de son budget n’est pas chose aisée, vous pouvez décider que le capital lui soit reversé sous la forme de versements mensuels … De quoi meubler un studio, payer ses frais de scolarité, et pourquoi pas s’offrir quelques loisirs…Ou bien, vous pouvez bloquer les retraits jusqu’à un certain âge (au plus tard ses 25 ans), grâce à la clause d’inaliénabilité temporaire.

Autre avantage de prendre date le plus tôt possible et dans l'optique de ces retraits programmés pour financer les études de vos enfants : plus tôt le contrat sera ouvert, plus tôt la fiscalité sera adoucie sur les retraits. Au bout de 8 ans de détention, les plus-values et intérêts sont en effet exonérés d'impôt dans la limite de 4 600 euros par personne.

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