Morning du 10 décembre, LE PARADOXE BOURSIER
Publié le 10 décembre 2019
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Et ils ont raison.
UNE HAUSSE SANS INVESTISSEURS PARTICULIERS
Malgré une hausse des indices Américains supérieure à 25%, la meilleure performance depuis 6 ans, les épargnants n’ont jamais autant retiré de l’argent de la Bourse.
Les épargnants ont retiré cette année 135 milliards de $ des fonds spécialisés en actions cotées et des ETF sur les indices boursiers. C’est un record depuis 1992, date à laquelle on a commencé à collecter des données sur le sujet.
THE MOST HATED BULL MARKET
Les investisseurs particuliers se retirent du marché, malgré la hausse. Par crainte de l’affrontement commercial entre la Chine et les Etats Unis, par peur d’un ralentissement économique qui n’en finit pas de ne pas se produire et par anticipation d’une correction, qui elle aussi n’en finit pas de ne pas se produire, après plus de 10 ans de hausse.
ALORS ? QUI ACHETE ?
Les investisseurs institutionnels.
Mais également les entreprises elles mêmes.
Elles achètent leurs propres titres avec des vastes programmes de rachat d’actions.
Elles ont du cash.
Elles peuvent emprunter à taux bas.
Et elles ont toutes intérêt, surtout leurs dirigeants qui ont des actions et des stock options, à pousser les cours à la hausse.
Selon Goldman Sachs ces rachats d’actions dépassent les 480 milliards de $ cette année.
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
UNE HAUSSE SANS INVESTISSEURS PARTICULIERS
Malgré une hausse des indices Américains supérieure à 25%, la meilleure performance depuis 6 ans, les épargnants n’ont jamais autant retiré de l’argent de la Bourse.
Les épargnants ont retiré cette année 135 milliards de $ des fonds spécialisés en actions cotées et des ETF sur les indices boursiers. C’est un record depuis 1992, date à laquelle on a commencé à collecter des données sur le sujet.
THE MOST HATED BULL MARKET
Les investisseurs particuliers se retirent du marché, malgré la hausse. Par crainte de l’affrontement commercial entre la Chine et les Etats Unis, par peur d’un ralentissement économique qui n’en finit pas de ne pas se produire et par anticipation d’une correction, qui elle aussi n’en finit pas de ne pas se produire, après plus de 10 ans de hausse.
ALORS ? QUI ACHETE ?
Les investisseurs institutionnels.
Mais également les entreprises elles mêmes.
Elles achètent leurs propres titres avec des vastes programmes de rachat d’actions.
Elles ont du cash.
Elles peuvent emprunter à taux bas.
Et elles ont toutes intérêt, surtout leurs dirigeants qui ont des actions et des stock options, à pousser les cours à la hausse.
Selon Goldman Sachs ces rachats d’actions dépassent les 480 milliards de $ cette année.
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