Morning du 23 juillet, La guerre des monnaies
Publié le 23 juillet 2019
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Le voilà prêt maintenant à utiliser son arme fatale, le dollar.
PAS SI SIMPLE
Trump ne supporte plus le déficit commercial massif des États-Unis.
Il le vit comme une humiliation.
Comme la preuve que les États-Unis sont victimes depuis des années de naïveté face à tous ses partenaires commerciaux.
Tout le monde profite des États-Unis et il est temps que cela cesse : c'est un de ses mots d'ordre.
IL A DÉJÀ
renégocié les accords commerciaux multilatéraux, les a transformés en accords bilatéraux pour se retrouver en position de force.
Il tente la mise en place de droits de douane pour obtenir des efforts de pays comme la Chine qui affiche un excédent commercial spectaculaire.
Sans grand effet pour l'instant.
ET MAINTENANT?
Il cherche une autre arme.
Plus efficace, selon lui.
Et il pense au dollar.
Un dollar qu'il trouve largement surévalué face aux principales monnaies.
Et, une fois de plus, son raisonnement est simple: si je fais baisser le dollar de 10%, mes exportations vont être plus compétitives.
C'est évidemment faux dans le cas des États-Unis puisqu'ils ont un problème de structure de leurs échanges commerciaux mais qu'importe.
PEUT-IL FAIRE BAISSER LE DOLLAR?
Oui.
Même si la Banque centrale américaine est en charge de la politique monétaire, de façon (de moins en moins) indépendante, le Trésor, donc le gouvernement, peut intervenir sur le marché des changes.
Directement.
Ce scénario est-il crédible ?
Oui.
Le dollar pourrait baisser contre l'euro et le yen en particulier si le Trésor vendait massivement des dollars.
Et cela déclencherait une nouvelle guerre des monnaies.
ENCORE UN CLOWN
à la tête d'un pays.
Boris Johnson va prendre aujourd'hui la direction du parti conservateur et devenir de fait le nouveau Premier ministre.
Il n'a aucun plan.
Ni aucune stratégie.
Il veut d'un Brexit avec ou sans deal avant le 31 Octobre.
Beaucoup prédisent déjà son échec.
Une crise politique.
Une dissolution du Parlement.
Et des élections anticipées.
Qui se transformeront en nouveau referendum sur le Brexit.
Pauvre Grande...
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
PAS SI SIMPLE
Trump ne supporte plus le déficit commercial massif des États-Unis.
Il le vit comme une humiliation.
Comme la preuve que les États-Unis sont victimes depuis des années de naïveté face à tous ses partenaires commerciaux.
Tout le monde profite des États-Unis et il est temps que cela cesse : c'est un de ses mots d'ordre.
IL A DÉJÀ
renégocié les accords commerciaux multilatéraux, les a transformés en accords bilatéraux pour se retrouver en position de force.
Il tente la mise en place de droits de douane pour obtenir des efforts de pays comme la Chine qui affiche un excédent commercial spectaculaire.
Sans grand effet pour l'instant.
ET MAINTENANT?
Il cherche une autre arme.
Plus efficace, selon lui.
Et il pense au dollar.
Un dollar qu'il trouve largement surévalué face aux principales monnaies.
Et, une fois de plus, son raisonnement est simple: si je fais baisser le dollar de 10%, mes exportations vont être plus compétitives.
C'est évidemment faux dans le cas des États-Unis puisqu'ils ont un problème de structure de leurs échanges commerciaux mais qu'importe.
PEUT-IL FAIRE BAISSER LE DOLLAR?
Oui.
Même si la Banque centrale américaine est en charge de la politique monétaire, de façon (de moins en moins) indépendante, le Trésor, donc le gouvernement, peut intervenir sur le marché des changes.
Directement.
Ce scénario est-il crédible ?
Oui.
Le dollar pourrait baisser contre l'euro et le yen en particulier si le Trésor vendait massivement des dollars.
Et cela déclencherait une nouvelle guerre des monnaies.
ENCORE UN CLOWN
à la tête d'un pays.
Boris Johnson va prendre aujourd'hui la direction du parti conservateur et devenir de fait le nouveau Premier ministre.
Il n'a aucun plan.
Ni aucune stratégie.
Il veut d'un Brexit avec ou sans deal avant le 31 Octobre.
Beaucoup prédisent déjà son échec.
Une crise politique.
Une dissolution du Parlement.
Et des élections anticipées.
Qui se transformeront en nouveau referendum sur le Brexit.
Pauvre Grande...
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