Morning du 31 mai, Destitution, le fol espoir des démocrates
Publié le 31 mai 2019
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PLUS QU’UN SOUPÇON
Dans une allocution surprise, le procureur spécial Robert Mueller est sorti de son silence mercredi.
Il a rappelé qu’il n’avait pas rassemblé «de preuves» d'une entente entre Moscou et l'équipe du candidat Trump.
Mais il a aussi souligné qu'il ne pouvait pas exonérer le président des soupçons d'entrave à la justice.
Il a ajouté que si «un président ne peut être poursuivi pour une infraction», il existe « une procédure en dehors du système judiciaire pour mettre en accusation un président en exercice »;
DESTITUTION : LES DÉMOCRATES HÉSITENT
Dès la fin de l’allocution, Kamala Harris, candidate à la primaire démocrate pour la présidentielle de 2020, a réclamé l’ouverture d’une procédure d’ «impeachment » à l’encontre du président. D'autres prétendants à la Maison Blanche, comme Elizabeth Warren, Bernie Sanders ou Beto O'Rourke, lui ont emboîté le pas.
Une procédure qui pourrait être lancée par la Chambre des représentants, à majorité démocrate.
Elle est toutefois quasiment sûre d'échouer devant le Sénat, contrôlé par les républicains.
La chef de la Chambre, Nancy Pelosi, a expliqué qu’elle voulait être sûr d’avoir « un dossier en béton » pour que même les sénateurs républicains suivent.
LE TWEET QUI EN DIT TROP
C’est bien entendu sur twitter que Trump a réagi, avec un commentaire lourd de sens : « aujourd’hui la Russie a disparu parce que je n’avais rien à voir avec le fait que la Russie m’aide à être élu ».
Sous-entendant donc que la Russie l’avait aidé.
Avant de se reprendre quelques minutes plus tard sur CNN : « Non, la Russie n’a pas contribué à mon élection. Vous savez qui m’a élu. Je me suis fait élire. La Russie a aidé l’autre camp.»
Maladresse ? Ou stratégie pour pousser les démocrates à lancer la...
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
Dans une allocution surprise, le procureur spécial Robert Mueller est sorti de son silence mercredi.
Il a rappelé qu’il n’avait pas rassemblé «de preuves» d'une entente entre Moscou et l'équipe du candidat Trump.
Mais il a aussi souligné qu'il ne pouvait pas exonérer le président des soupçons d'entrave à la justice.
Il a ajouté que si «un président ne peut être poursuivi pour une infraction», il existe « une procédure en dehors du système judiciaire pour mettre en accusation un président en exercice »;
DESTITUTION : LES DÉMOCRATES HÉSITENT
Dès la fin de l’allocution, Kamala Harris, candidate à la primaire démocrate pour la présidentielle de 2020, a réclamé l’ouverture d’une procédure d’ «impeachment » à l’encontre du président. D'autres prétendants à la Maison Blanche, comme Elizabeth Warren, Bernie Sanders ou Beto O'Rourke, lui ont emboîté le pas.
Une procédure qui pourrait être lancée par la Chambre des représentants, à majorité démocrate.
Elle est toutefois quasiment sûre d'échouer devant le Sénat, contrôlé par les républicains.
La chef de la Chambre, Nancy Pelosi, a expliqué qu’elle voulait être sûr d’avoir « un dossier en béton » pour que même les sénateurs républicains suivent.
LE TWEET QUI EN DIT TROP
C’est bien entendu sur twitter que Trump a réagi, avec un commentaire lourd de sens : « aujourd’hui la Russie a disparu parce que je n’avais rien à voir avec le fait que la Russie m’aide à être élu ».
Sous-entendant donc que la Russie l’avait aidé.
Avant de se reprendre quelques minutes plus tard sur CNN : « Non, la Russie n’a pas contribué à mon élection. Vous savez qui m’a élu. Je me suis fait élire. La Russie a aidé l’autre camp.»
Maladresse ? Ou stratégie pour pousser les démocrates à lancer la...
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