Morning du 20 février, L'ALLEMAGNE A LA TETE DE LA BANQUE CENTRALE EUROPEENNE?
Publié le 20 février 2018
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UN TOURNANT MAJEUR
Tout d’abord l’Espagne prend, comme elle le souhaitait depuis longtemps, un poste clé au niveau Européen. C’est également tout un symbole, le retour de l’Europe du Sud après des années de crise majeure, et une quasi faillite. Voilà donc pendant quelques mois, la Banque Centrale Européenne dirigée par un Italien et un Espagnol. Qui aurait pu imaginer un tel scénario quand la crise battait son plein. Qui aurait pu même imaginer que l’Allemagne laisse toutes les clés à l’Europe du Sud ?
L'ALLEMAGNE A L'OFFENSIVE
On évoque justement un calcul de la part des Allemands. Et c’est peut être l’élément le plus important de cette nomination. A peine Guindos désigné, on ne parle déjà plus que du remplacement de Mario Draghi. Son mandat prend fin en Octobre 2019. Et la bataille va être rude. Le soutien apporté par les Allemands à la candidature espagnole serait la condition pour que ce soit un Allemand qui dirige la BCE. Enfin pour les Allemands car et c’est pour eux une totale aberration, jamais un Allemand n’a dirigé la BCE alors que l’Allemagne est la première puissance économique de la zone euro. Pour les Allemands il est temps de mettre fin à ce qu’ils considèrent comme une injustice. Leur candidat c’est jans Weidmann le patron de la très redoutée Bundesbank, la banque Centrale Allemande. Pour les Allemands, la nomination de Jans Weidmann est une évidence.
UNE BCE ALLEMANDE ?
Mais ce n’est pas une évidence pour tout le monde. Au contraire. Une reprise en mains de la BCE par l’Allemagne effraie. Et certains pays d’Europe du Sud feront tout pour l’éviter en privilégiant peut être un solution Française. Mais les Allemands ne lâcheront pas facilement. Un Allemand à la tête de la BCE ce serait un tournant surtout dans le contexte actuel de reprise de l’économie et de rebond de...
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
Tout d’abord l’Espagne prend, comme elle le souhaitait depuis longtemps, un poste clé au niveau Européen. C’est également tout un symbole, le retour de l’Europe du Sud après des années de crise majeure, et une quasi faillite. Voilà donc pendant quelques mois, la Banque Centrale Européenne dirigée par un Italien et un Espagnol. Qui aurait pu imaginer un tel scénario quand la crise battait son plein. Qui aurait pu même imaginer que l’Allemagne laisse toutes les clés à l’Europe du Sud ?
L'ALLEMAGNE A L'OFFENSIVE
On évoque justement un calcul de la part des Allemands. Et c’est peut être l’élément le plus important de cette nomination. A peine Guindos désigné, on ne parle déjà plus que du remplacement de Mario Draghi. Son mandat prend fin en Octobre 2019. Et la bataille va être rude. Le soutien apporté par les Allemands à la candidature espagnole serait la condition pour que ce soit un Allemand qui dirige la BCE. Enfin pour les Allemands car et c’est pour eux une totale aberration, jamais un Allemand n’a dirigé la BCE alors que l’Allemagne est la première puissance économique de la zone euro. Pour les Allemands il est temps de mettre fin à ce qu’ils considèrent comme une injustice. Leur candidat c’est jans Weidmann le patron de la très redoutée Bundesbank, la banque Centrale Allemande. Pour les Allemands, la nomination de Jans Weidmann est une évidence.
UNE BCE ALLEMANDE ?
Mais ce n’est pas une évidence pour tout le monde. Au contraire. Une reprise en mains de la BCE par l’Allemagne effraie. Et certains pays d’Europe du Sud feront tout pour l’éviter en privilégiant peut être un solution Française. Mais les Allemands ne lâcheront pas facilement. Un Allemand à la tête de la BCE ce serait un tournant surtout dans le contexte actuel de reprise de l’économie et de rebond de...
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