Morning du 24 octobre, Le dilemme des monnaies virtuelles
Publié le 24 octobre 2017
(44 lectures)
UNE VOLATILITÉ QUI ATTIRE
Et dans un environnement de volatilité dramatiquement basse pour les traders, un marché qui varie de 5 à 10% par jour, comme hier, forcément ça finit par intriguer et attirer de plus en plus d’acteurs de la finance. Mais de Jamie Dimon, le patron de JP Morgan au Loup de Wall Street, Jordan Belfort, les critiques fusent : escroquerie, arnaque, fraude, les monnaies virtuelles sont affublées de tous les noms. Mais chacun se demande s’il peut vraiment les ignorer. De plus en plus de firmes spécialisées de trading de Wall Street entrent dans le marché et ça c’est nouveau puisque jusqu’à présent ce marché était uniquement animé par des spéculateurs, souvent Chinois, et par des utilisateurs un peu louches. Quelques hedge funds, des fonds spéculatifs s’y essaient de même que quelques family offices.
ON NE PEUT PAS LES IGNORER
Mais pas encore de grands noms institutionnels. On avait évoqué Goldman Sachs par exemple il y a quelques semaines mais c'est une exception. A Londres, les grandes institutions ne veulent pas traiter les monnaies virtuelles, du coup les fintechs qui gravitent autour de la blockchain et des monnaies virtuelles doivent se reporter sur des places plus exotiques comme Gibraltar, la Pologne ou encore la Bulgarie. C’est assez frappant ce qui se passe sur les crypto currencies. A part les spécialistes et les adorateurs, tout le monde est perdu et confronté à un dilemme. Les ignorer et passer peut être à côté d’une révolution et d’une disruption majeure, ou se lancer et risquer de voir son nom mêlé à un énorme scandale. Une chose est certaine : tous les acteurs de la finance, même les plus traditionnels, les observent en attendant le jour où ils pourront se lancer avec un risque de réputation limité. Les monnaies virtuelles font...
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
Et dans un environnement de volatilité dramatiquement basse pour les traders, un marché qui varie de 5 à 10% par jour, comme hier, forcément ça finit par intriguer et attirer de plus en plus d’acteurs de la finance. Mais de Jamie Dimon, le patron de JP Morgan au Loup de Wall Street, Jordan Belfort, les critiques fusent : escroquerie, arnaque, fraude, les monnaies virtuelles sont affublées de tous les noms. Mais chacun se demande s’il peut vraiment les ignorer. De plus en plus de firmes spécialisées de trading de Wall Street entrent dans le marché et ça c’est nouveau puisque jusqu’à présent ce marché était uniquement animé par des spéculateurs, souvent Chinois, et par des utilisateurs un peu louches. Quelques hedge funds, des fonds spéculatifs s’y essaient de même que quelques family offices.
ON NE PEUT PAS LES IGNORER
Mais pas encore de grands noms institutionnels. On avait évoqué Goldman Sachs par exemple il y a quelques semaines mais c'est une exception. A Londres, les grandes institutions ne veulent pas traiter les monnaies virtuelles, du coup les fintechs qui gravitent autour de la blockchain et des monnaies virtuelles doivent se reporter sur des places plus exotiques comme Gibraltar, la Pologne ou encore la Bulgarie. C’est assez frappant ce qui se passe sur les crypto currencies. A part les spécialistes et les adorateurs, tout le monde est perdu et confronté à un dilemme. Les ignorer et passer peut être à côté d’une révolution et d’une disruption majeure, ou se lancer et risquer de voir son nom mêlé à un énorme scandale. Une chose est certaine : tous les acteurs de la finance, même les plus traditionnels, les observent en attendant le jour où ils pourront se lancer avec un risque de réputation limité. Les monnaies virtuelles font...
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
Copyright ©2017
MonFinancier (matinale)
Conseil Financier indépendant : avec Marc Fiorentino les solutions patrimoines, les solutions boursières, les solutions immobilières |