Morning du 30 août, BREXIT: CONFUSION TOTALE
Publié le 30 août 2017
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Le président de la commission Européenne Jean Claude Juncker a même été très brutal, il a déclaré hier qu’aucune des propositions faites par la Grande Bretagne n’était satisfaisante. Et pour cause...
LOST
La Grande Bretagne donne le sentiment depuis les dernières élections législatives d’être totalement perdue. Avant les élections que Theresa May pensait largement remporter, le message était clair. Ce serait un hard Brexit. Et la Grande Bretagne semblait avoir toutes les cartes en main. Depuis, on n’y comprend plus grand-chose, c’est la cacophonie, on entend toutes les opinions s’exprimer et celle de Theresa May devient inaudible.
TRANSITION, TRANSITION, TRANSITION
Mais on s’éloigne de plus en plus d’un hard brexit.
Cette option là est bel et bien enterrée. En fait on a de plus en plus le sentiment que la grande majorité de la classe politique voudrait un Brexit qui n’en soit pas un et qui ressemble furieusement à un statu quo. Du côté des travaillistes, on a eu une position claire. Ils veulent rester dans un marché commun et ils veulent une période de transition, d’au moins 4 ans après les deux ans de négociations. Une période de 6 ans donc après le referendum pendant laquelle rien ne changerait ou presque avec peut être l’espoir de remettre le Brexit sur le tapis aux prochaines élections. Et en fait maintenant, on ne parle plus que de cela, la période de transition. Même dans le camp de Theresa May.
UN ROUND POUR RIEN
Une transition plus courte.
On évoque maintenant du côté conservateur une transition de trois ans, de 2019 à 2022. Et Theresa May ne cesse de répéter maintenant aux Européens qu’elle est prête à faire des concessions mais qu’il faut qu’ils fassent preuve de flexibilité. Et plus elle demande de flexibilité et plus les Européens se montrent intransigeants et surtout unis, ne parlant que d’une seule voix. Rien ne se passe donc comme prévu. La Grande Bretagne est en position de faiblesse, l’Europe en position de force. Et la Grande Bretagne ne sait plus sur quel pied danser. Une situation...
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
LOST
La Grande Bretagne donne le sentiment depuis les dernières élections législatives d’être totalement perdue. Avant les élections que Theresa May pensait largement remporter, le message était clair. Ce serait un hard Brexit. Et la Grande Bretagne semblait avoir toutes les cartes en main. Depuis, on n’y comprend plus grand-chose, c’est la cacophonie, on entend toutes les opinions s’exprimer et celle de Theresa May devient inaudible.
TRANSITION, TRANSITION, TRANSITION
Mais on s’éloigne de plus en plus d’un hard brexit.
Cette option là est bel et bien enterrée. En fait on a de plus en plus le sentiment que la grande majorité de la classe politique voudrait un Brexit qui n’en soit pas un et qui ressemble furieusement à un statu quo. Du côté des travaillistes, on a eu une position claire. Ils veulent rester dans un marché commun et ils veulent une période de transition, d’au moins 4 ans après les deux ans de négociations. Une période de 6 ans donc après le referendum pendant laquelle rien ne changerait ou presque avec peut être l’espoir de remettre le Brexit sur le tapis aux prochaines élections. Et en fait maintenant, on ne parle plus que de cela, la période de transition. Même dans le camp de Theresa May.
UN ROUND POUR RIEN
Une transition plus courte.
On évoque maintenant du côté conservateur une transition de trois ans, de 2019 à 2022. Et Theresa May ne cesse de répéter maintenant aux Européens qu’elle est prête à faire des concessions mais qu’il faut qu’ils fassent preuve de flexibilité. Et plus elle demande de flexibilité et plus les Européens se montrent intransigeants et surtout unis, ne parlant que d’une seule voix. Rien ne se passe donc comme prévu. La Grande Bretagne est en position de faiblesse, l’Europe en position de force. Et la Grande Bretagne ne sait plus sur quel pied danser. Une situation...
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