Immobilier, il est encore temps de renégocier son crédit !
Publié le 31 août 2016
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Des économies à la clé
On se souvient de l’histoire du couple nantais qui a obtenu cet été, un taux de 1,20% dans le cadre d’une renégociation d’un crédit contracté… en début d’année à un taux de 2,75%. Ainsi, cette baisse a entraîné une économie de 145.000 euros. Selon Vousfinancer.com, ce cas n’est pas isolé. Les taux sont actuellement inférieurs de 1 point à ceux relevés l’an dernier, « offrant la possibilité à ces crédits d’être renégociés avec à la clé d’importantes économies ». Surtout que le mouvement n’est pas prêt de s’essouffler : « en septembre 2016, la moyenne sur vingt ans va passer en dessous des 1,50% alors qu’elle montait à 1,70% fin août » prévoit Sandrine Allonier, directrice des relations banques chez le courtier Vousfinancercom.
Renégocier auprès de sa banque
Dans un premier temps, le particulier qui souhaite diminuer le coût de son prêt peut se tourner vers son actuel emprunteur pour demander une révision du taux de son crédit. Seuls les titulaires de prêts à taux fixes sont concernés car, contrairement à ceux qui ont emprunté à taux variable, ils n’ont pas bénéficié de la baisse des taux.
Naturellement, la banque ne va pas apprécier cette requête, d’autant que rien ne l’oblige à revenir sur les conditions du prêt. Mais cette dernière n’a pas vraiment intérêt à refuser toute négociation. Les établissements bancaires se livrent une concurrence féroce pour conserver leur clients et en attirer de nouveaux. Ainsi, de plus en plus d'établissements bancaires acceptent de renégocier les conditions des prêts en cours.
Les règles d’or pour une renégociation réussie
Pour une renégociation réussie, Meilleurtaux.com rappelle les trois éléments clés à prendre en compte. L’emprunteur doit se voir offrir une différence de taux supérieure à 0,7 point, être dans la première moitié de son prêt, idéalement le premier tiers et conserver son bien encore quelques années afin d’amortir les frais liés à la renégociation. De son côté, Empruntis.com recommande aux emprunteurs de négocier leur assurance de prêt, avec leur banque ou un autre établissement. « Avec le niveau bas des taux d’intérêt, son coût devient proportionnellement plus important » prévient-il.
Et pourquoi pas vous ?
Malgré ces conditions de crédit au beau fixe, plus de deux Français sur dix n’osent pas aller à la négociation, car jugée « trop compliquée » tandis que 10% craignent tout simplement de se voir opposer une fin de non-recevoir de la part de leur banquier. Et pourtant, il ne faut pas se brider quand on devine le montant économisé grâce à cette renégociation . A titre d’exemple, un prêt de 100.000 euros sur 20 ans au taux de 2,55% coûte 562 euros par mois. Renégocié à 1,55%, la mensualité tombe à 515 euros. Près de 50 euros économisés ! Une capacité d’épargne supplémentaire qui peut vous permettre de vous lancer dans une nouvelle opération immobilière comme l’achat de parts de SCPI à crédit à titre d’exemple.
Exemple : Vous financez à crédit l’acquisition de 150 parts de SCPI en empruntant 30 200 euros (frais inclus) sur une durée de 20 ans. Ces parts de SCPI génèrent des loyers qui viennent partiellement couvrir vos charges d’emprunt. La différence entre vos charges d’emprunt et les loyers perçus est l’effort d’épargne que vous devez réaliser. En prenant cette hypothèse**, votre effort d’épargne est limité à 45,11 euros/mois (hors fiscalité)***. C'est ainsi qu'avec un effort d'épargne limité, on peut se constituer progressivement un capital
>> J'obtiens une documentation complète sur l’offre SCPI à crédit
Communication non contractuelle à caractère publicitaire.
** Hypothèses de calcul : rendement annuel de 5% (versé trimestriellement). Prêt à échéances constantes pour une durée de 20 ans à un taux annuel proportionnel de 2,80 %. sans apport et hors commission de souscription. Assurance non souscrite. Cette hypothèse ne peut valoir offre de crédit. Toute demande ne peut bien sûr préjuger de la décision prise par l’établissement prêteur d’octroi ou non du crédit sollicité.
*** Hypothèses de calcul : versement de 115 euros par mois dans un fonds ayant un rendement annuel net de frais de gestion de 5%, sans frais d'entrée ni droit de garde. Capital total au bout de 20 ans approximativement 30 000€
On se souvient de l’histoire du couple nantais qui a obtenu cet été, un taux de 1,20% dans le cadre d’une renégociation d’un crédit contracté… en début d’année à un taux de 2,75%. Ainsi, cette baisse a entraîné une économie de 145.000 euros. Selon Vousfinancer.com, ce cas n’est pas isolé. Les taux sont actuellement inférieurs de 1 point à ceux relevés l’an dernier, « offrant la possibilité à ces crédits d’être renégociés avec à la clé d’importantes économies ». Surtout que le mouvement n’est pas prêt de s’essouffler : « en septembre 2016, la moyenne sur vingt ans va passer en dessous des 1,50% alors qu’elle montait à 1,70% fin août » prévoit Sandrine Allonier, directrice des relations banques chez le courtier Vousfinancercom.
Renégocier auprès de sa banque
Dans un premier temps, le particulier qui souhaite diminuer le coût de son prêt peut se tourner vers son actuel emprunteur pour demander une révision du taux de son crédit. Seuls les titulaires de prêts à taux fixes sont concernés car, contrairement à ceux qui ont emprunté à taux variable, ils n’ont pas bénéficié de la baisse des taux.
Naturellement, la banque ne va pas apprécier cette requête, d’autant que rien ne l’oblige à revenir sur les conditions du prêt. Mais cette dernière n’a pas vraiment intérêt à refuser toute négociation. Les établissements bancaires se livrent une concurrence féroce pour conserver leur clients et en attirer de nouveaux. Ainsi, de plus en plus d'établissements bancaires acceptent de renégocier les conditions des prêts en cours.
Les règles d’or pour une renégociation réussie
Pour une renégociation réussie, Meilleurtaux.com rappelle les trois éléments clés à prendre en compte. L’emprunteur doit se voir offrir une différence de taux supérieure à 0,7 point, être dans la première moitié de son prêt, idéalement le premier tiers et conserver son bien encore quelques années afin d’amortir les frais liés à la renégociation. De son côté, Empruntis.com recommande aux emprunteurs de négocier leur assurance de prêt, avec leur banque ou un autre établissement. « Avec le niveau bas des taux d’intérêt, son coût devient proportionnellement plus important » prévient-il.
Et pourquoi pas vous ?
Malgré ces conditions de crédit au beau fixe, plus de deux Français sur dix n’osent pas aller à la négociation, car jugée « trop compliquée » tandis que 10% craignent tout simplement de se voir opposer une fin de non-recevoir de la part de leur banquier. Et pourtant, il ne faut pas se brider quand on devine le montant économisé grâce à cette renégociation . A titre d’exemple, un prêt de 100.000 euros sur 20 ans au taux de 2,55% coûte 562 euros par mois. Renégocié à 1,55%, la mensualité tombe à 515 euros. Près de 50 euros économisés ! Une capacité d’épargne supplémentaire qui peut vous permettre de vous lancer dans une nouvelle opération immobilière comme l’achat de parts de SCPI à crédit à titre d’exemple.
Exemple : Vous financez à crédit l’acquisition de 150 parts de SCPI en empruntant 30 200 euros (frais inclus) sur une durée de 20 ans. Ces parts de SCPI génèrent des loyers qui viennent partiellement couvrir vos charges d’emprunt. La différence entre vos charges d’emprunt et les loyers perçus est l’effort d’épargne que vous devez réaliser. En prenant cette hypothèse**, votre effort d’épargne est limité à 45,11 euros/mois (hors fiscalité)***. C'est ainsi qu'avec un effort d'épargne limité, on peut se constituer progressivement un capital
>> J'obtiens une documentation complète sur l’offre SCPI à crédit
Communication non contractuelle à caractère publicitaire.
** Hypothèses de calcul : rendement annuel de 5% (versé trimestriellement). Prêt à échéances constantes pour une durée de 20 ans à un taux annuel proportionnel de 2,80 %. sans apport et hors commission de souscription. Assurance non souscrite. Cette hypothèse ne peut valoir offre de crédit. Toute demande ne peut bien sûr préjuger de la décision prise par l’établissement prêteur d’octroi ou non du crédit sollicité.
*** Hypothèses de calcul : versement de 115 euros par mois dans un fonds ayant un rendement annuel net de frais de gestion de 5%, sans frais d'entrée ni droit de garde. Capital total au bout de 20 ans approximativement 30 000€
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