Morning du 4 Mai, La fin de l’alignement des planètes?
Publié le 4 mai 2016
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EN ORDRE DISPERSÉ
L’économie de la zone euro repart, mais elle est inégale en fonction des pays. En France et en Italie par exemple, la reprise manque de tonus. Certes une croissance hexagonale de 0,5% au premier trimestre confirme l’embellie, mais elle ne suffira pas pour atteindre les 3% d’objectif de déficit public selon la Commission européenne. En Espagne, le taux de chômage reste à un niveau dramatiquement élevé (18%) de la population active. Du côté des bons élèves, l’Irlande impressionne avec une croissance qui devrait frôler les 5% en 2016, après un bond de 7,8% en 2015.
LE VERRE À MOITIÉ VIDE
Non, ça ne va pas forcément mieux pour la Commission européenne qui évoque des « risques élevés » planant sur la reprise du vieux continent : Tensions géopolitiques, Grèce, risque de dérapage budgétaire, Brexit, les raisons de s’inquiéter ne manquent pas.
LA SAGA DE L’ÉTÉ
La Grèce fait son grand retour sur le devant de la scène. On ne connaît que trop bien la chanson. En juillet, la Grèce devra honorer une créance de 3,5 milliards d’euros au FMI et à la BCE… Si Athènes n’obtient pas le déblocage d’une nouvelle tranche, elle risque tout simplement le défaut.
L’OMBRE DU BREXIT
La menace d’un Brexit plane au-dessus de la zone euro. Alors que les sondages indiquent que les deux camps sont au coude-à-coude, le risque d’une sortie de la Grande-Bretagne est pris au sérieux par la Commission européenne. Or personne ne peut dire quelles seraient les conséquences économiques d’une sortie de la Grande-Bretagne sur l’économie européenne dans son ensemble.
LE COME-BACK DE L’EURO
Rien ne semble pouvoir arrêter la progression de l’euro, qui vient de remonter...
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
L’économie de la zone euro repart, mais elle est inégale en fonction des pays. En France et en Italie par exemple, la reprise manque de tonus. Certes une croissance hexagonale de 0,5% au premier trimestre confirme l’embellie, mais elle ne suffira pas pour atteindre les 3% d’objectif de déficit public selon la Commission européenne. En Espagne, le taux de chômage reste à un niveau dramatiquement élevé (18%) de la population active. Du côté des bons élèves, l’Irlande impressionne avec une croissance qui devrait frôler les 5% en 2016, après un bond de 7,8% en 2015.
LE VERRE À MOITIÉ VIDE
Non, ça ne va pas forcément mieux pour la Commission européenne qui évoque des « risques élevés » planant sur la reprise du vieux continent : Tensions géopolitiques, Grèce, risque de dérapage budgétaire, Brexit, les raisons de s’inquiéter ne manquent pas.
LA SAGA DE L’ÉTÉ
La Grèce fait son grand retour sur le devant de la scène. On ne connaît que trop bien la chanson. En juillet, la Grèce devra honorer une créance de 3,5 milliards d’euros au FMI et à la BCE… Si Athènes n’obtient pas le déblocage d’une nouvelle tranche, elle risque tout simplement le défaut.
L’OMBRE DU BREXIT
La menace d’un Brexit plane au-dessus de la zone euro. Alors que les sondages indiquent que les deux camps sont au coude-à-coude, le risque d’une sortie de la Grande-Bretagne est pris au sérieux par la Commission européenne. Or personne ne peut dire quelles seraient les conséquences économiques d’une sortie de la Grande-Bretagne sur l’économie européenne dans son ensemble.
LE COME-BACK DE L’EURO
Rien ne semble pouvoir arrêter la progression de l’euro, qui vient de remonter...
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