Morning du 26 Novembre, Le jour de la Turkey
Publié le 26 novembre 2015
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VIVE L' AMERIQUE DU SUD
Un vent de libéralisme et de liberté souffle à nouveau sur l'Amérique du Sud.
Deux pays majeurs de la région sont à un tournant depuis quelques jours. L’Argentine tout d’abord qui a mis fin à l’ère Kirchner. Une ère de populisme et de blocage financier qui a mené le pays au fond du gouffre avec une dette abyssale, un déficit incontrôlé et une inflation de 25%. Depuis dimanche avec la victoire du maire de Centre droite de Buenos Aires, le pays revient dans la communauté internationale. Les marchés se sont envolés et on attend de façon imminente une dévaluation majeure d’un peso maintenu artificiellement à des niveaux asphyxiants pour l’économie.
DILMA, DEGAGE
Le Brésil va mal. Très mal. L’économie est en récession et les finances sont dans un état désastreux. Mais c’est surtout la crise politique qui s’accélère. Le scandale de corruption de la compagnie pétrolière nationale Petrobras va provoquer un séisme politique. Hier une vague d’arrestations a eu lieu : Un banquier d’affaires milliardaire et leader au Sénat du parti au pouvoir. Les jours de Dilma Rousseff sont comptés et les appels à sa destitution se multiplient. Si elle saute, le Brésil basculera, comme l’Argentine, vers la droite et des partis libéraux. C’est une évolution majeure pour un continent dominé par des partis populistes ou anticapitalistes.
NEXT, VENEZUELA
Le Venezuela est d’ailleurs dans le viseur.
La première annonce du nouveau leader Argentin c’est une demande d’exclusion du Venezuela du Mercosur, le marché commun d’Amérique du Sud, pour violation des droits de l’homme. Bonne ambiance. L’Amérique du Sud entre dans une phase de transition. Elle ne sera pas simple. Elle va demander des sacrifices. Mais elle en sortira renforcée et on peut...
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
Un vent de libéralisme et de liberté souffle à nouveau sur l'Amérique du Sud.
Deux pays majeurs de la région sont à un tournant depuis quelques jours. L’Argentine tout d’abord qui a mis fin à l’ère Kirchner. Une ère de populisme et de blocage financier qui a mené le pays au fond du gouffre avec une dette abyssale, un déficit incontrôlé et une inflation de 25%. Depuis dimanche avec la victoire du maire de Centre droite de Buenos Aires, le pays revient dans la communauté internationale. Les marchés se sont envolés et on attend de façon imminente une dévaluation majeure d’un peso maintenu artificiellement à des niveaux asphyxiants pour l’économie.
DILMA, DEGAGE
Le Brésil va mal. Très mal. L’économie est en récession et les finances sont dans un état désastreux. Mais c’est surtout la crise politique qui s’accélère. Le scandale de corruption de la compagnie pétrolière nationale Petrobras va provoquer un séisme politique. Hier une vague d’arrestations a eu lieu : Un banquier d’affaires milliardaire et leader au Sénat du parti au pouvoir. Les jours de Dilma Rousseff sont comptés et les appels à sa destitution se multiplient. Si elle saute, le Brésil basculera, comme l’Argentine, vers la droite et des partis libéraux. C’est une évolution majeure pour un continent dominé par des partis populistes ou anticapitalistes.
NEXT, VENEZUELA
Le Venezuela est d’ailleurs dans le viseur.
La première annonce du nouveau leader Argentin c’est une demande d’exclusion du Venezuela du Mercosur, le marché commun d’Amérique du Sud, pour violation des droits de l’homme. Bonne ambiance. L’Amérique du Sud entre dans une phase de transition. Elle ne sera pas simple. Elle va demander des sacrifices. Mais elle en sortira renforcée et on peut...
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