Morning du 14 Septembre, UN KRACH...UN JOUR
Publié le 14 septembre 2015
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Après l’explosion violente d’une des plus belles bulles de ces dernières années, la bulle Chinoise, voilà qu’on commence à entendre quelques voix dissonantes sur la Bourse Américaine. Et pas n’importe quelles voix.
BULLE BOURSIERE AUX US.
Ce week end c’est un prix Nobel d’économie, Robert Schiller qui joue les Cassandre. Pour lui c’est simple, les marchés boursiers Américains sont aussi surévalués qu’en 2000. Rien que ça. Et plus surévalués qu’en 2007. Deux dates qui résonnent comme des cauchemars pour les investisseurs du monde entier.
hiller est un grand spécialiste de la finance comportementale. Le prix Nobel lui a été attribué en 2013, avec deux autres économistes, pour ses recherches sur l’évaluation des actifs. Et son autre fait d’armes c’est la publication en 2000 quelques semaines avant l’explosion de la bulle internet d’un livre intitulé « Exubérance irrationnelle ».
PAS LA FAUTE DE LA FED
Les indicateurs qu’il a créé pour mesurer la valorisation des actions américaines signalent une survalorisation générale. Et il considère que la volatilité très récente sur les marchés le conforte dans ses prévisions.
Ce serait donc une hausse des taux aux Etats Unis qui serait le catalyseur d’une chute des marchés?
Non. Selon Schiller, il n’y a pas de corrélation historique, ce qui est très très surprenant, entre la valorisation des actions et les taux d’intérêt sur le court terme. Et c’est là que ça devient moins drôle. Schiller annonce un krach mais il rajoute qu’on ne peut pas prédire quand il va se produire, que les marchés sont surévalués depuis longtemps et qu’ils ont pourtant continué à monter. En gros, il prévoit qu’il pleuvra un jour mais il ne sait pas quand. Pas besoin d’être Prix Nobel pour dire la même chose…
SURPRIS
de me réveiller ce matin et de voir que la France continuait à fonctionner normalement: il pleut, les gens se plaignent, ça va "comme un lundi". La Terre continue à tourner. Et pourtant Claire Chazal nous a quittés.
UN VRAI TREMBLEMENT DE TERRE
On...
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
BULLE BOURSIERE AUX US.
Ce week end c’est un prix Nobel d’économie, Robert Schiller qui joue les Cassandre. Pour lui c’est simple, les marchés boursiers Américains sont aussi surévalués qu’en 2000. Rien que ça. Et plus surévalués qu’en 2007. Deux dates qui résonnent comme des cauchemars pour les investisseurs du monde entier.
hiller est un grand spécialiste de la finance comportementale. Le prix Nobel lui a été attribué en 2013, avec deux autres économistes, pour ses recherches sur l’évaluation des actifs. Et son autre fait d’armes c’est la publication en 2000 quelques semaines avant l’explosion de la bulle internet d’un livre intitulé « Exubérance irrationnelle ».
PAS LA FAUTE DE LA FED
Les indicateurs qu’il a créé pour mesurer la valorisation des actions américaines signalent une survalorisation générale. Et il considère que la volatilité très récente sur les marchés le conforte dans ses prévisions.
Ce serait donc une hausse des taux aux Etats Unis qui serait le catalyseur d’une chute des marchés?
Non. Selon Schiller, il n’y a pas de corrélation historique, ce qui est très très surprenant, entre la valorisation des actions et les taux d’intérêt sur le court terme. Et c’est là que ça devient moins drôle. Schiller annonce un krach mais il rajoute qu’on ne peut pas prédire quand il va se produire, que les marchés sont surévalués depuis longtemps et qu’ils ont pourtant continué à monter. En gros, il prévoit qu’il pleuvra un jour mais il ne sait pas quand. Pas besoin d’être Prix Nobel pour dire la même chose…
SURPRIS
de me réveiller ce matin et de voir que la France continuait à fonctionner normalement: il pleut, les gens se plaignent, ça va "comme un lundi". La Terre continue à tourner. Et pourtant Claire Chazal nous a quittés.
UN VRAI TREMBLEMENT DE TERRE
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