Immobilier, les primo-accédants sont majoritairement des jeunes couples avec enfants
Publié le 8 avril 2015
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Des jeunes couples en majorité
Pour 80% des primo-accédants, l’achat se fait en couple. Et plus de la moitié de ces jeunes couples ont un ou plusieurs enfants. Et les célibataires alors ? Ils sont seulement deux sur dix à tenter l’aventure en solo.
La maison en tête des projets d’achat
La maison ou le pavillon fait toujours autant rêver les aspirants à l’achat immobilier. Ils sont 63% à plébisciter l’acquisition d’un tel bien contre seulement 37% pour un appartement dans l’ancien. Et pour concrétiser ce rêve, les jeunes couples sont prêts à s’éloigner des centres-villes et a ainsi privilégier les villes de taille modeste ou les communes rurales. 28% des primo-accédants ont sauté le pas pour s’offrir leur coin de paradis à la campagne. Paris et sa région ne sont cités que par 18% des personnes interrogées. Les prix en Ile-de-France y sont grandement pour quelque chose.
L’apport incontournable
Cette catégorie d’acheteurs dispose d’une enveloppe de 223.000 euros frais d'agence et de notaire inclus dans les grandes agglomérations. Elle est quasiment divisée par deux à 146.000 euros pour une acquisition dans les communes rurales. Autre enseignement de cette étude, plus de deux tiers des personnes interrogées ont dû piocher dans leur bas de laine pour financer leur achat. Ce sont surtout des cadres, en couple et sans enfant qui se présentent devant leur banque avec un apport de 31.000 euros en moyenne. Un tiers des primo-accédants en revanche, n’a pas disposé d’un apport personnel pour leur premier achat.
A noter que 61% des primo-accédants ont d’ailleurs eu recours pour leur acquisition à un dispositif d’aide, le plus souvent un prêt à taux zéro (PTZ) ou un prêt d’épargne logement (PEL). Mais le recours à l’emprunt est un passage obligé pour la plupart des primo-accédants (87%).
7 mois en moyenne
Entre le premier coup d’œil aux vitrines des agents immobiliers et le passage chez le notaire s’écoule en moyenne 7 mois. 91% des primo-accédants ont finalisé leur acquisition moins d’un an après avoir engagé les premières démarches.
La pierre fait toujours autant rêver puisqu’elle est avant tout synonyme de liberté (94 %) et de fierté (88 %) mais aussi apporte «?la satisfaction d’avoir un bien à transmettre?»?(75 %) et «?la sécurité en cas de perte d’emploi et/ou de revenus?» (61 %).
* sondage réalisé par internet du 13 au 19 mars 2015 auprès d'un échantillon représentatif de 2.000 personnes âgées de 18 à 40 ans selon la méthode des quotas (basée sur les critères de sexe, d'âge, de profession du répondant après stratification par régions et catégories d'agglomération).
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Pour 80% des primo-accédants, l’achat se fait en couple. Et plus de la moitié de ces jeunes couples ont un ou plusieurs enfants. Et les célibataires alors ? Ils sont seulement deux sur dix à tenter l’aventure en solo.
La maison en tête des projets d’achat
La maison ou le pavillon fait toujours autant rêver les aspirants à l’achat immobilier. Ils sont 63% à plébisciter l’acquisition d’un tel bien contre seulement 37% pour un appartement dans l’ancien. Et pour concrétiser ce rêve, les jeunes couples sont prêts à s’éloigner des centres-villes et a ainsi privilégier les villes de taille modeste ou les communes rurales. 28% des primo-accédants ont sauté le pas pour s’offrir leur coin de paradis à la campagne. Paris et sa région ne sont cités que par 18% des personnes interrogées. Les prix en Ile-de-France y sont grandement pour quelque chose.
L’apport incontournable
Cette catégorie d’acheteurs dispose d’une enveloppe de 223.000 euros frais d'agence et de notaire inclus dans les grandes agglomérations. Elle est quasiment divisée par deux à 146.000 euros pour une acquisition dans les communes rurales. Autre enseignement de cette étude, plus de deux tiers des personnes interrogées ont dû piocher dans leur bas de laine pour financer leur achat. Ce sont surtout des cadres, en couple et sans enfant qui se présentent devant leur banque avec un apport de 31.000 euros en moyenne. Un tiers des primo-accédants en revanche, n’a pas disposé d’un apport personnel pour leur premier achat.
A noter que 61% des primo-accédants ont d’ailleurs eu recours pour leur acquisition à un dispositif d’aide, le plus souvent un prêt à taux zéro (PTZ) ou un prêt d’épargne logement (PEL). Mais le recours à l’emprunt est un passage obligé pour la plupart des primo-accédants (87%).
7 mois en moyenne
Entre le premier coup d’œil aux vitrines des agents immobiliers et le passage chez le notaire s’écoule en moyenne 7 mois. 91% des primo-accédants ont finalisé leur acquisition moins d’un an après avoir engagé les premières démarches.
La pierre fait toujours autant rêver puisqu’elle est avant tout synonyme de liberté (94 %) et de fierté (88 %) mais aussi apporte «?la satisfaction d’avoir un bien à transmettre?»?(75 %) et «?la sécurité en cas de perte d’emploi et/ou de revenus?» (61 %).
* sondage réalisé par internet du 13 au 19 mars 2015 auprès d'un échantillon représentatif de 2.000 personnes âgées de 18 à 40 ans selon la méthode des quotas (basée sur les critères de sexe, d'âge, de profession du répondant après stratification par régions et catégories d'agglomération).
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