Morning du 23 février, LES PROMESSES N'ENGAGENT QUE CEUX QUI LES ECOUTENT
Publié le 23 février 2015
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ACCORD DE DERNIERE MINUTE VENDREDI?
Disons plutôt pour être tout à fait clair qu’on a gagné une semaine et pas quatre mois contrairement à ce qui est annoncé partout. En fait la Grèce doit soumettre aujourd’hui à ce qui était la troika, qui est toujours la troika mais qui n’a plus le droit de s’appeler la troika, un projet de réformes qu’elle est prête à accepter en échange d’une extension de l’aide de 172 millions d’euros jusqu’à Juin. Et l’Union Européenne et le FMI doivent décider aujourd’hui si ces réformes sont suffisantes.
SI CE N'EST PAS LE CAS...
On recommence demain et ainsi de suite jusqu’à Samedi, dernière limite pour la négociation. On sait déjà que pour l’instant les propositions faites par le gouvernement Grec ne sont pas suffisantes. Il ne veut plus entendre parler d’austérité et veut se concentrer sur l’évasion fiscale. Ce qui n’est pas acceptable par les Allemands. Mais même ces semi concessions faites par le gouvernement Grec sont déjà critiquées au sein de Syriza par les partisans de la ligne dure qui veulent une annulation pure et simple des contraintes du plan de sauvetage.
UNE SEMAINE D'INCERTITUDES
L’Europe fera peu de concessions. Il va donc falloir que le gouvernement Grec capitule tout en sauvant la face, ce qui ne va pas être simple. Comme dans toutes les élections du monde entier depuis la nuit des temps démocratiques, les électeurs vont vite se rendre compte qu’ils se sont faits avoir. Tsipras et les membres de son gouvernement ont déjà commencé ce week end à expliquer qu’ils ne pourront pas tenir leurs promesses. Qui a dit déjà que les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent ?
CHAQUE JOUR UN RECORD
Les marchés boursiers dans tous les pays développés ou presque enchaînent les records....
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
Disons plutôt pour être tout à fait clair qu’on a gagné une semaine et pas quatre mois contrairement à ce qui est annoncé partout. En fait la Grèce doit soumettre aujourd’hui à ce qui était la troika, qui est toujours la troika mais qui n’a plus le droit de s’appeler la troika, un projet de réformes qu’elle est prête à accepter en échange d’une extension de l’aide de 172 millions d’euros jusqu’à Juin. Et l’Union Européenne et le FMI doivent décider aujourd’hui si ces réformes sont suffisantes.
SI CE N'EST PAS LE CAS...
On recommence demain et ainsi de suite jusqu’à Samedi, dernière limite pour la négociation. On sait déjà que pour l’instant les propositions faites par le gouvernement Grec ne sont pas suffisantes. Il ne veut plus entendre parler d’austérité et veut se concentrer sur l’évasion fiscale. Ce qui n’est pas acceptable par les Allemands. Mais même ces semi concessions faites par le gouvernement Grec sont déjà critiquées au sein de Syriza par les partisans de la ligne dure qui veulent une annulation pure et simple des contraintes du plan de sauvetage.
UNE SEMAINE D'INCERTITUDES
L’Europe fera peu de concessions. Il va donc falloir que le gouvernement Grec capitule tout en sauvant la face, ce qui ne va pas être simple. Comme dans toutes les élections du monde entier depuis la nuit des temps démocratiques, les électeurs vont vite se rendre compte qu’ils se sont faits avoir. Tsipras et les membres de son gouvernement ont déjà commencé ce week end à expliquer qu’ils ne pourront pas tenir leurs promesses. Qui a dit déjà que les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent ?
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