Morning du 9 février, Le compte à rebours grec
Publié le 9 février 2015
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OU EN EST ON EN GRÈCE?
Deux semaines après l’élection Grecque, le ton et l’ambiance ont changé. Finie la grécobéatitude des médias européens qui saluaient la fierté retrouvée du peuple Grec. Disparus également les sourires des visages de Tsipras et de son ministre des Finances. La tournée des capitales a été un échec. Et le compte à rebours a commencé. Mercredi, c’est la première réunion des ministre des Finances Européens pour la Grèce, et jeudi son premier sommet Européen. A aujourd’hui la situation est totalement bloquée. Tsipras a confirmé dans son discours hier qu’il voulait à la fois honorer toutes ses promesses de campagne mais aussi « servir sa dette »
QUELS SCÉNARIOS ?
En fait il y a peu d’alternatives. La Grèce est coincée mais d’un autre côté l’Union Européenne veut éviter la crise. La Grèce veut gagner du temps et cherche un financement relais jusqu’en Juin pour avoir plus de temps pour convaincre les Européens. Mais pour obtenir ce financement elle doit continuer à suivre le programme qui lui est imposé. Le vrai sujet maintenant est de permettre à Tsipras d’avaler cette couleuvre sans perdre la face ?
NE ME DITES PLUS JAMAIS TROÏKA
Comment obtenir ce résultat ?C’est assez simple finalement. Tout va tourner autour de la « troika « , ces représentants de l’Union Européenne, de la BCE et du FMI en charge du suivi du programme d’austérité. Le mot « troika » est synonyme d’ingérence et d’humiliation pour la Grèce. L’Europe va donc probablement accepter que ce ne soit plus troika qui suive la Grèce, mais l’union Européenne et le FMI en direct, ce qui revient finalement au même, une troika qui ne dirait plus son nom. Un mot suffit parfois à résoudre des crises.
SWISSLEAKS
ça va être le sujet du jour et probablement de la semaine. Le...
Lire la suite de cet article sur le site de Monfinancier.com
Deux semaines après l’élection Grecque, le ton et l’ambiance ont changé. Finie la grécobéatitude des médias européens qui saluaient la fierté retrouvée du peuple Grec. Disparus également les sourires des visages de Tsipras et de son ministre des Finances. La tournée des capitales a été un échec. Et le compte à rebours a commencé. Mercredi, c’est la première réunion des ministre des Finances Européens pour la Grèce, et jeudi son premier sommet Européen. A aujourd’hui la situation est totalement bloquée. Tsipras a confirmé dans son discours hier qu’il voulait à la fois honorer toutes ses promesses de campagne mais aussi « servir sa dette »
QUELS SCÉNARIOS ?
En fait il y a peu d’alternatives. La Grèce est coincée mais d’un autre côté l’Union Européenne veut éviter la crise. La Grèce veut gagner du temps et cherche un financement relais jusqu’en Juin pour avoir plus de temps pour convaincre les Européens. Mais pour obtenir ce financement elle doit continuer à suivre le programme qui lui est imposé. Le vrai sujet maintenant est de permettre à Tsipras d’avaler cette couleuvre sans perdre la face ?
NE ME DITES PLUS JAMAIS TROÏKA
Comment obtenir ce résultat ?C’est assez simple finalement. Tout va tourner autour de la « troika « , ces représentants de l’Union Européenne, de la BCE et du FMI en charge du suivi du programme d’austérité. Le mot « troika » est synonyme d’ingérence et d’humiliation pour la Grèce. L’Europe va donc probablement accepter que ce ne soit plus troika qui suive la Grèce, mais l’union Européenne et le FMI en direct, ce qui revient finalement au même, une troika qui ne dirait plus son nom. Un mot suffit parfois à résoudre des crises.
SWISSLEAKS
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