Immobilier, en douze ans, le pouvoir immobilier des Franciliens s'est dégradé
Publié le 21 janvier 2015
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Un pouvoir d’achat immobilier en berne
En douze ans, le pouvoir d’achat des ménages a diminué en Ile-de-France notamment du fait de la hausse des prix de la pierre. Cette baisse s’inscrit entre 39 % à Paris sur la période contre seulement 12 % à Fontainebleau.
Parmi les douze communes d’Ile-de-France étudiée, c’est à Argenteuil (95) où la baisse de pouvoir d’achat immobilier est la plus élevée. En 1998, 75% des ménages avaient la capacité d’acheter un bien immobilier contre seulement 56 % aujourd'hui. A l’inverse, les Versaillais (78) est la commune où la baisse de pouvoir d’achat immobilier est la plus faible (47% en 1998 contre 39% en 2010).
Des écarts générationnels importants
En plus des inégalités géographiques, l’étude pointe d’importants écarts générationnels. Ce sont les quinquagénaires qui disposent en Ile-de-France du pouvoir d’achat immobilier le plus élevé. En 2010, les deux tiers des 55-60 ans en moyenne pouvaient acheter un bien immobilier selon leurs besoins dans une des douze communes d’Ile-de-France étudiées et la moitié à Paris. En revanche, les trentenaires connaissent le plus de difficultés pour acquérir un bien immobilier : « en 2010, seulement un tiers en moyenne des 30-35 ans pouvaient acquérir un bien immobilier correspondant à leurs besoins dans une des douze communes d’Ile-de-France étudiées et moins d’un sur quatorze (7 %) à Paris. »
La forte hausse des prix immobiliers observée durant la première décennie des années 2000 a, selon le Crédit Foncier, eu pour effet d’accroître les disparités entre les générations dans les grandes villes d’Ile-de-France.
En douze ans, le pouvoir d’achat des ménages a diminué en Ile-de-France notamment du fait de la hausse des prix de la pierre. Cette baisse s’inscrit entre 39 % à Paris sur la période contre seulement 12 % à Fontainebleau.
Parmi les douze communes d’Ile-de-France étudiée, c’est à Argenteuil (95) où la baisse de pouvoir d’achat immobilier est la plus élevée. En 1998, 75% des ménages avaient la capacité d’acheter un bien immobilier contre seulement 56 % aujourd'hui. A l’inverse, les Versaillais (78) est la commune où la baisse de pouvoir d’achat immobilier est la plus faible (47% en 1998 contre 39% en 2010).
Des écarts générationnels importants
En plus des inégalités géographiques, l’étude pointe d’importants écarts générationnels. Ce sont les quinquagénaires qui disposent en Ile-de-France du pouvoir d’achat immobilier le plus élevé. En 2010, les deux tiers des 55-60 ans en moyenne pouvaient acheter un bien immobilier selon leurs besoins dans une des douze communes d’Ile-de-France étudiées et la moitié à Paris. En revanche, les trentenaires connaissent le plus de difficultés pour acquérir un bien immobilier : « en 2010, seulement un tiers en moyenne des 30-35 ans pouvaient acquérir un bien immobilier correspondant à leurs besoins dans une des douze communes d’Ile-de-France étudiées et moins d’un sur quatorze (7 %) à Paris. »
La forte hausse des prix immobiliers observée durant la première décennie des années 2000 a, selon le Crédit Foncier, eu pour effet d’accroître les disparités entre les générations dans les grandes villes d’Ile-de-France.
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