Immobilier, les charges ont baissé de 6,7 % à Paris
Publié le 16 janvier 2015
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Un budget chauffage en baisse de 15%
L’année 2014 a été la plus chaude du siècle, ce qui a permis de faire fondre la facture énergétique des propriétaires. Principal poste de dépenses des immeubles, le budget du chauffage collectif sur Paris est en baisse de 15% en moyenne. Ceci s'explique par la clémence météorologique de l'année la plus chaude du siècle, les températures ayant un effet immédiat sur les charges de chauffage. La FNAIM juge également que les bons réflexes des copropriétaires en matière de dépense énergétique commencent également à s’avérer payants. En effet, plus les immeubles sont récents et plus le coût du chauffage collectif est réduit ; la baisse constatée par la FNAIM entre le 1er semestre 2014 et 6 mois de 2013 est d’autant plus importante que les immeubles sont récents (-6 % pour les immeubles construits avant 1918 et -19 % pour les immeubles construits après 1970)
Coup de chaud sur les honoraires de syndic
Les charges ayant augmenté sont l’électricité, les ascenseurs, les assurances et les honoraires de syndic. Ces derniers ont augmenté de 5% à Paris, une hausse qui pour la FNAIM apparait comme « mesurée ». L’augmentation des honoraires s’explique en partie par des ajustements contractuels (clause d'indexation) et par l'imputation de nouveaux frais tels que la gestion des comptes bancaires séparés.
Pas de fiscalité locale au menu de cet observatoire
L’Observatoire ne prend pas en compte le poids des charges résultant des impôts et taxes directement prélevés par l’Etat et les collectivités locales comme par exemple la taxe foncière ou la taxe d’ordure ménagère. Or, la FNAIM rappelle que celles-ci ont connu ces dernières années une hausse souvent importante. La fédération prend comme exemples, la taxe d’habitation et la taxe foncière bâtie qui ont augmenté respectivement de 44 % et 97,3 % sur Paris entre 2001 et 2013.
L’année 2014 a été la plus chaude du siècle, ce qui a permis de faire fondre la facture énergétique des propriétaires. Principal poste de dépenses des immeubles, le budget du chauffage collectif sur Paris est en baisse de 15% en moyenne. Ceci s'explique par la clémence météorologique de l'année la plus chaude du siècle, les températures ayant un effet immédiat sur les charges de chauffage. La FNAIM juge également que les bons réflexes des copropriétaires en matière de dépense énergétique commencent également à s’avérer payants. En effet, plus les immeubles sont récents et plus le coût du chauffage collectif est réduit ; la baisse constatée par la FNAIM entre le 1er semestre 2014 et 6 mois de 2013 est d’autant plus importante que les immeubles sont récents (-6 % pour les immeubles construits avant 1918 et -19 % pour les immeubles construits après 1970)
Coup de chaud sur les honoraires de syndic
Les charges ayant augmenté sont l’électricité, les ascenseurs, les assurances et les honoraires de syndic. Ces derniers ont augmenté de 5% à Paris, une hausse qui pour la FNAIM apparait comme « mesurée ». L’augmentation des honoraires s’explique en partie par des ajustements contractuels (clause d'indexation) et par l'imputation de nouveaux frais tels que la gestion des comptes bancaires séparés.
Pas de fiscalité locale au menu de cet observatoire
L’Observatoire ne prend pas en compte le poids des charges résultant des impôts et taxes directement prélevés par l’Etat et les collectivités locales comme par exemple la taxe foncière ou la taxe d’ordure ménagère. Or, la FNAIM rappelle que celles-ci ont connu ces dernières années une hausse souvent importante. La fédération prend comme exemples, la taxe d’habitation et la taxe foncière bâtie qui ont augmenté respectivement de 44 % et 97,3 % sur Paris entre 2001 et 2013.
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