Fiscalité, François Hollande refuse toute nouvelle imposition à partir de cette année.
Publié le 5 janvier 2015
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Opération reconquête pour l’invité du « 7/9 »…
Pas de nouveaux impôts d’ici à la fin du quinquennat de François Hollande. Le chef de l’État a en effet réaffirmé son engagement pris lors de intervention sur TF1 du 6 novembre 2014, de ne pas augmenter la fiscalité à partir de cette année. « J'ai pris un engagement qui est de ne pas créer de nouveaux impôts à partir de 2015. C'est clair. Il n'y aura aucune augmentation de prélèvement supplémentaire », a-t-il déclaré.
François Hollande est également revenu sur la suppression de la première tranche du barème de l'impôt sur le revenu, une mesure qui va permettre « à 9 millions de personnes de payer moins d'impôt » parmi les « couches moyennes et modestes ».
Priorité « à la réduction des déficits »
Mais pour autant, le président de la République reste attentif à la dérive des finances publiques. « Nous avons besoin de nous désendetter. Ensuite, nous verrons ce que nous pourrions faire » sur la baisse de la fiscalité. « Si la croissance est un peu supérieure » en 2015 à la prévision officielle de 1%, « cela ira à la réduction des déficits », a confirmé le locataire de l’Elysée. Si ces prévisions « se confirmai[ent] en 2016 ou en 2017 […] nous verrions ce que nous pourrions faire en termes de baisse de prélèvements ».
Pas de nouveaux impôts d’ici à la fin du quinquennat de François Hollande. Le chef de l’État a en effet réaffirmé son engagement pris lors de intervention sur TF1 du 6 novembre 2014, de ne pas augmenter la fiscalité à partir de cette année. « J'ai pris un engagement qui est de ne pas créer de nouveaux impôts à partir de 2015. C'est clair. Il n'y aura aucune augmentation de prélèvement supplémentaire », a-t-il déclaré.
François Hollande est également revenu sur la suppression de la première tranche du barème de l'impôt sur le revenu, une mesure qui va permettre « à 9 millions de personnes de payer moins d'impôt » parmi les « couches moyennes et modestes ».
Priorité « à la réduction des déficits »
Mais pour autant, le président de la République reste attentif à la dérive des finances publiques. « Nous avons besoin de nous désendetter. Ensuite, nous verrons ce que nous pourrions faire » sur la baisse de la fiscalité. « Si la croissance est un peu supérieure » en 2015 à la prévision officielle de 1%, « cela ira à la réduction des déficits », a confirmé le locataire de l’Elysée. Si ces prévisions « se confirmai[ent] en 2016 ou en 2017 […] nous verrions ce que nous pourrions faire en termes de baisse de prélèvements ».
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