Immobilier, ACE Crédit n'a pas les mêmes inquiétudes que Christian Noyer
Publié le 1 août 2014
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A l’occasion d’une réunion avec la Fédération bancaire française, Christian Noyer, gouverneur de la Banque de France, a une nouvelle fois invité les banques à réviser leurs barèmes à la hausse, craignant que les taux bas des prêts contribuent à l’augmentation des prix dans l’immobilier.
Joël Boumendil, Dirigeant ACE Crédit rappelle que « les taux bas n’influent pas sur la hausse des prix de l’immobilier. Le phénomène d’une demande très forte des acquéreurs pour se loger, face une offre très faible due au retard des constructions, est l’une des véritables raisons du maintien des prix élevés. »
Le courtier craint que les recommandations du patron de la Banque de France n’aggravent plus encore la situation des emprunteurs et qu’elles « augmentent les difficultés qu’ont les particuliers à se loger. » « La suppression des prêts à taux zéro a déjà éliminé une grande partie des primo-accédants, ainsi que les ménages à faibles revenus. Aujourd’hui, l’acquisition d’un bien immobilier reste encore possible grâce au crédit immobilier et aux taux bas justement », commente Joël Boumendil.
En dépit de taux très bas, ACE Crédit signale en outre, que les acquéreurs ne sont plus prêts à emprunter davantage en s'endettant sur de longues durées. « La durée moyenne des prêts a même baissé ces dernières années », poursuit-il.
Joël Boumendil, Dirigeant ACE Crédit rappelle que « les taux bas n’influent pas sur la hausse des prix de l’immobilier. Le phénomène d’une demande très forte des acquéreurs pour se loger, face une offre très faible due au retard des constructions, est l’une des véritables raisons du maintien des prix élevés. »
Le courtier craint que les recommandations du patron de la Banque de France n’aggravent plus encore la situation des emprunteurs et qu’elles « augmentent les difficultés qu’ont les particuliers à se loger. » « La suppression des prêts à taux zéro a déjà éliminé une grande partie des primo-accédants, ainsi que les ménages à faibles revenus. Aujourd’hui, l’acquisition d’un bien immobilier reste encore possible grâce au crédit immobilier et aux taux bas justement », commente Joël Boumendil.
En dépit de taux très bas, ACE Crédit signale en outre, que les acquéreurs ne sont plus prêts à emprunter davantage en s'endettant sur de longues durées. « La durée moyenne des prêts a même baissé ces dernières années », poursuit-il.
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